Headline of the Lebanese Forces website: No Weapons Handed Over, No Money
Since the Taif Agreement until today, Lebanon has never witnessed such a broad consensus on the need to limit weapons to the hands of the Lebanese state as it does now. While there are clear differences regarding the mechanisms the state should use to control weapons, there is near-unanimous agreement on one fundamental point: it is unacceptable for weapons to remain outside the state’s framework, and the state must be the only authority authorized to bear arms.
According to strategic experts, this issue lies at the heart of national sovereignty. The presence of weapons outside the state’s control poses a threat to internal stability and citizens’ security. This represents a major challenge for Lebanon, especially in light of armed groups capable of imposing their own reality by force, as has happened with “the Party”, hindering the establishment of a strong state and effective institutions that the Lebanese aspire to build.
Experts added, via the Lebanese Forces website: “The Taif Agreement, reached in 1989, was seen as the beginning of a long process to rebuild the Lebanese state after the civil war. Although Taif stipulated the monopoly of arms by the state, its implementation has collided with Lebanon’s political and field realities. There have always been parties, especially ‘the Party’ and the Axis of Resistance, that reject or evade this principle. Some political forces viewed weapons outside the state’s authority as a tool for leverage or to achieve specific interests.”
On the other hand, Western powers, particularly the United States, have long demanded the exclusive possession of weapons by the Lebanese state, as part of affirming national sovereignty and imposing security and stability throughout the Lebanese territory. This step, now more urgent than ever, is seen as a sign to the world that Lebanon is capable of building a real state that has sovereignty over every inch of its territory. This contributes to internal stability and increases international confidence in Lebanon’s ability to recover.
In this context, and according to exclusive information from Western sources, security stability is the key factor through which Lebanon can achieve economic growth and attract international investment. Countries and investors will not risk putting their money in an unstable environment where multiple parties compete for influence and militias possess weapons outside the state’s authority. Security is the prerequisite for financial inflow, and the economy cannot thrive under the current circumstances.
According to Western sources quoted by the Lebanese Forces website, donor countries and those interested in assisting Lebanon are no longer willing to proceed with financial support unless “the Party’s” weapons are handed over to the Lebanese state. It has become increasingly clear that the international community, led by the United States, views Lebanon as standing at a crossroads: either the weapons are handed over to the state, or Lebanon will remain in political and economic isolation.
Manchette du site des Forces Libanaises : Pas de remise des armes, pas d’argent
Depuis l’Accord de Taëf jusqu’à aujourd’hui, le Liban n’a jamais connu un consensus aussi large sur la nécessité de limiter les armes aux mains de l’État libanais. Bien qu’il existe des divergences claires sur le mécanisme à adopter par l’État pour contrôler les armes, il y a un accord quasi unanime sur un point fondamental : il est inacceptable que les armes restent en dehors du cadre de l’État, lequel doit être la seule autorité habilitée à les détenir.
Selon les experts stratégiques, cette question touche au cœur de la souveraineté nationale. La présence d’armes hors du contrôle de l’État constitue une menace à la stabilité interne et à la sécurité des citoyens. Cela représente un défi majeur pour le Liban, surtout avec l’existence de groupes armés capables d’imposer leur propre réalité par la force, comme cela s’est produit avec “le Parti”, entravant ainsi la construction d’un État fort et d’institutions efficaces, objectifs que les Libanais aspirent à atteindre.
Les experts ajoutent, via le site des Forces Libanaises : « L’Accord de Taëf, conclu en 1989, était censé marquer le début d’un long processus de reconstruction de l’État libanais après la guerre civile. Bien que Taëf stipule que les armes doivent être exclusivement aux mains de l’État, l’application de ce principe s’est heurtée à la réalité politique et de terrain au Liban. Certains acteurs, notamment “le Parti” et l’Axe de la Résistance en général, ont toujours refusé ou contourné ce principe. Certaines forces politiques voyaient dans les armes hors du cadre de l’État un moyen de pression ou un outil pour servir leurs intérêts. »
D’autre part, les pays occidentaux, notamment les États-Unis, ont toujours exigé que les armes soient exclusivement détenues par l’État libanais, dans le cadre d’une affirmation de la souveraineté nationale et de l’imposition de la sécurité et de la stabilité sur l’ensemble du territoire libanais. Cette démarche, devenue urgente à ce stade, est perçue comme un signal au monde que le Liban est capable de construire un véritable État souverain sur chaque centimètre de son territoire. Cela contribue à renforcer la stabilité interne et à accroître la confiance internationale dans la capacité du Liban à se redresser.
Dans ce contexte, et selon des informations exclusives de sources occidentales, la stabilité sécuritaire est l’élément fondamental permettant au Liban de réaliser une croissance économique et d’attirer des investissements internationaux. Les pays et les investisseurs ne risqueront pas de placer leur argent dans un environnement instable où plusieurs parties se disputent l’influence et où des milices détiennent des armes en dehors du cadre étatique. La sécurité est une condition préalable pour l’afflux de capitaux, et l’économie ne peut pas prospérer dans une telle réalité.
Selon les sources occidentales citées par le site des Forces Libanaises, les pays donateurs et ceux intéressés par l’aide au Liban ne sont plus disposés à poursuivre leur soutien financier tant que les armes du “Parti” ne sont pas remises à l’État libanais. Il est désormais clair que la communauté internationale, menée par les États-Unis, considère que le Liban se trouve à la croisée des chemins : soit les armes sont remises à l’État, soit le Liban restera dans l’isolement politique et économique.