Exclusive – “The Party” Rebuilds Its Ranks… Has Not Deviated an Inch from Its Destructive Project (Yasmina Nasr)
“Those who do not learn from past experiences are either foolish or betraying their own interests.” This phrase aptly summarizes the actions of “the party,” which seems to have drawn no lessons from its past endeavors that have devastated Lebanon and obstructed the establishment of a real state. In truth, “the party” is not foolish; rather, it is fully committed to an Iranian expansionist project that holds no regard for Lebanon and no respect for the nation’s interests or its people.
Despite all the developments in the region—from Gaza to Lebanon and Syria—and the shifting balance of power, “the party” remains steadfast in its approach and rhetoric, attempting to impose a new reality that restores its lost power, which faded with the decline of its mini-state.
Political sources confirm to the Lebanese Forces website that “it is enough to follow the political statements of the party’s MPs, regardless of any additional information, to reach a definite conclusion that this party insists on holding onto its weapons, despite having signed a ceasefire agreement that stipulates dismantling its military infrastructure. Moreover, despite everything that has happened in the region—from its military defeat to the closing of the bridge between Tehran, Beirut, and Damascus—this party’s statements and positions clearly indicate that it is reorganizing its ranks. Its insistence on weapons signifies three fundamental things.”
The first fundamental point, according to these sources, is that “this insistence means that the party refuses to reassess its actions and remains committed to the same policies that have destroyed Lebanon, at least in two key moments: 2006 and 2024. Despite the fact that its weapons have prevented the rise of a functional state, it continues down the same path.”
The second point is that “the party clings to the same rhetoric and methods, with any variations in its discourse being merely superficial adjustments. In reality, this group has not deviated an inch from its Iranian-backed, militarized, and destructive project.”
The third point is that “the party believes what happened is in the past and now wants to move forward. Regardless of reports suggesting that it is restructuring its military ranks, the mere fact that it refuses to relinquish its illegal weapons confirms that it is realigning itself within an Iranian expansionist agenda.”
Given this reality, the sources emphasize that “the state must take all necessary measures to prevent these weapons from regenerating. The recent airport incident provided a crucial indication that the party can no longer block any road as it once did. The state is vigilant, and the statements from President Joseph Aoun and Prime Minister Nawaf Salam affirm that there is now a functioning state. We are witnessing a new narrative, different from the past. Official Lebanon today opposes any weapons outside the authority of the state and does not provide cover for them, unlike the situation from 1990 to 2025. However, despite these positive changes, the state must continue asserting its sovereignty, as there can be no true state without a monopoly on arms.”
“Every official must recognize that this party cannot integrate into a state-building project, and the state cannot allow any faction to make this a matter of choice. Submitting to state authority is not optional; it must be mandatory. Therefore, the sovereign forces, led by the Lebanese Forces, are fully aware of this reality and have called on the government to set a clear timeframe for ensuring that only the state possesses weapons,” the sources conclude.
Exclusif- “Le Parti” réorganise ses rangs… Il n’a pas bougé d’un centimètre de son projet destructeur (Yasmina Nasr)
“Celui qui ne tire pas les leçons du passé, soit il est stupide, soit il renie ses intérêts”, est une phrase qui résume l’attitude du “Parti”, qui semble ne pas avoir tiré les enseignements de ses expériences ayant détruit le Liban et entravé la création d’un véritable État. En réalité, le “Parti” n’est pas stupide, mais il se soumet à un projet iranien expansionniste qui ne prend pas en compte le Liban, ni ses intérêts ni ceux du peuple libanais.
Malgré toutes les évolutions qu’a connues la région, de Gaza au Liban et à la Syrie, et le changement des rapports de force, le “Parti” reste attaché à la même méthode et à la même rhétorique, tentant d’imposer une nouvelle réalité qui lui redonnera la force perdue, que l’on croyait disparue avec la fin de l’époque de la milice.
Des sources politiques confirment, à travers le site de la “Force Libanaise”, que “suivre les positions politiques des députés du Parti, indépendamment de toute donnée ou information, permet de se faire une idée claire : ce Parti persiste dans son attachement aux armes, malgré sa signature de l’accord de cessez-le-feu qui stipule le démantèlement de sa structure militaire, et malgré tout ce qui s’est passé dans la région, depuis sa défaite militaire jusqu’à la fermeture du pont reliant Téhéran à Beyrouth et entre le Liban et Damas. En résumé, malgré tout cela, quiconque suit les positions et déclarations du ‘Parti’ se rend compte que celui-ci est en train de réorganiser ses rangs, car son attachement aux armes implique trois points essentiels.”
Le premier point, selon les sources, est que “cela signifie que le Parti refuse de faire un bilan de ce qui s’est passé et persiste dans les mêmes politiques qui ont détruit le Liban, du moins en deux moments clés : 2006 et 2024, bien que ces armes aient empêché la création d’un véritable État”.
Le deuxième point, les sources politiques estiment que “le Parti reste attaché aux mêmes principes et à la même méthode, et toute distinction dans son discours n’est qu’un ensemble de changements superficiels. En réalité, il n’a pas bougé d’un centimètre de son projet iranien armé et destructeur.”
Le troisième point est que “le Parti considère que ce qui est fait est fait et veut aller de l’avant. Par conséquent, indépendamment de tout rapport évoquant des informations selon lesquelles ce Parti réorganise ses rangs militaires, il est certain qu’il réorganise ses rangs, car dès qu’il annonce qu’il ne renoncera pas à ses armes et qu’il reste attaché à ces armes illégales, cela signifie qu’il veut retrouver son organisation dans le cadre d’un projet iranien expansionniste.”
Face à cette situation, les sources insistent sur le fait que “l’État doit prendre toutes les mesures nécessaires pour empêcher que ces armes ne se réinventent, bien que l’incident à l’aéroport ait donné un indice important que ce Parti ne puisse plus fermer aucune route. L’État est vigilant, et les déclarations des présidents de la République, Joseph Aoun, et du gouvernement, Nohad Salam, confirment qu’il y a un État, et nous faisons face à des principes et des discours différents du passé. Par conséquent, le Liban officiel est désormais contre toute arme en dehors de l’État et ne couvre plus ces armes, contrairement à la réalité qui prévalait depuis 1990 jusqu’en 2025, mais malgré tous ces aspects positifs, l’État doit bien sûr continuer à étendre sa souveraineté, car il n’y a pas de véritable État sans monopole des armes.”
“Chaque responsable doit comprendre que ce Parti ne peut pas s’intégrer dans un projet d’État, et l’État ne peut pas laisser un quelconque groupe choisir cette option. L’intégration sous le toit de l’État n’est pas un choix, elle doit être une obligation. Par conséquent, les forces souverainistes, en tête desquelles les ‘Forces Libanaises’, sont conscientes de cette réalité et ont appelé le gouvernement à fixer un délai pour que l’État ait seul le monopole des armes”, concluent les sources.