Exclusive – “The Party” Between Truce and Ongoing Conflict: The Truth About the Ceasefire Agreement
Despite the announcement of a ceasefire between the concerned parties, “the Party” continues to suffer from the consequences of war on the ground. While calm is supposed to prevail along the borders, Israeli aircraft persist in targeting members of the Radwan Force affiliated with the Party. This targeting, which does not seem likely to stop anytime soon, reflects the new reality the Party faces after the ceasefire—one that still carries ongoing threats and conflicts despite temporary agreements.
The most pressing question many are asking is: “What exactly did the Party agree to when signing the ceasefire agreement?” If the Party has indeed accepted all its terms as it claims, why does it appear to hold the Lebanese state responsible for the current situation? Especially considering that it was the Party itself that decided to enter this dark tunnel of war. This situation could drag “the Party” back into major military confrontations, similar to operations like “Beijer” and the threats that have previously targeted the Party’s leaders, such as Nasrallah and Safi Al-Din.
Military experts, speaking to the Lebanese Forces website, indicate that the current developments are part of a broader plan agreed upon during the tenure of former U.S. President Joe Biden, which remains in effect under the administration of current U.S. President Donald Trump. This plan includes a key provision granting Israel the freedom to act if it perceives any threat to its security—something clearly reflected in the recent military escalation in southern Lebanon.
The experts add: “The key takeaway from all of this is that Israel, under the signed agreements, enjoys complete freedom to target any Party movements at any time it deems necessary. This means that the Party cannot predict Israel’s next move or determine when these attacks will cease. Israel remains convinced that this situation will aid in dismantling the Party’s military capabilities, particularly in terms of armament and training. Moreover, the decision to weaken the Party’s capabilities has become part of a long-term strategy, with no possibility of reversal, regardless of political pressures or circumstances.”
Exclusif – Le “parti” entre trêve et conflit permanent… La vérité sur l’accord de cessez-le-feu
Bien que l’annonce d’un cessez-le-feu ait été faite entre les parties concernées, le “parti” continue de subir les conséquences de la guerre sur le terrain. Alors qu’un calme supposé devrait régner à la frontière, les avions israéliens poursuivent leurs frappes contre les membres de l’unité Radwan affiliée au parti. Ces attaques, qui ne semblent pas près de s’arrêter, reflètent la nouvelle réalité que vit le parti après l’accord de cessez-le-feu, une réalité qui reste marquée par des menaces et des conflits persistants malgré les accords temporaires.
La question essentielle que beaucoup se posent est la suivante : “À quoi le parti a-t-il réellement consenti en signant l’accord de cessez-le-feu ?” Si le parti affirme avoir accepté toutes ses clauses, pourquoi semble-t-il alors tenir l’État libanais pour responsable de la situation actuelle, d’autant plus que c’est lui-même qui a pris la décision d’entrer dans cette guerre aux conséquences incertaines ? Cette situation pourrait replonger le parti dans une série de frappes militaires de grande ampleur, à l’image des opérations passées comme “Beijer” et des menaces qui ont visé ses dirigeants, notamment Hassan Nasrallah et Safi Al-Din.
Des experts militaires, cités par le site électronique des Forces libanaises, estiment que ce qui se passe actuellement fait partie d’un plan plus large, élaboré sous l’administration de l’ancien président américain Joe Biden et toujours en vigueur sous l’administration du président actuel Donald Trump. Ce plan inclut une clause essentielle permettant à Israël d’agir librement en cas de menace potentielle à sa sécurité, ce qui se manifeste clairement dans l’escalade militaire récente dans le sud du Liban.
Les experts ajoutent : “Le message à retenir de tout cela est qu’Israël, en vertu des accords signés, dispose d’une liberté totale pour cibler à tout moment les mouvements du parti. Cela signifie que le parti est incapable d’anticiper la prochaine action d’Israël ou de prévoir la fin de ces frappes. Israël, de son côté, est convaincu que cette situation pourrait contribuer à l’affaiblissement des capacités militaires du parti, en particulier en matière d’armement et d’entraînement militaire. De plus, la décision de neutraliser les capacités du parti fait désormais partie d’une stratégie à long terme, irréversible quelles que soient les pressions politiques ou les circonstances.”