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Exclusive – The Party’s Alternative Plan for Money Smuggling Exposed

Recently, according to circulating information, the relevant authorities have begun assembling the elements of the case related to the Party’s alternative plan for money smuggling. This comes after the Party’s smuggling routes gradually closed due to the recent war, the fall of Bashar al-Assad’s regime, and the Lebanese state gradually regaining control over its borders, crossings, and air and sea ports.

Sources familiar with the matter told the Lebanese Forces website that “the Party is facing financial difficulties, as smuggling operations to fund it have become increasingly challenging. This is due to its significant loss of control over illegal border crossings with Syria following the fall of its ally Assad’s regime, as well as the Lebanese army’s takeover of security at Rafik Hariri International Airport, the Port of Beirut, and other ports. Additionally, all of the Party’s attempts to create chaos and threaten security in order to reverse the decision banning sanctioned Iranian airlines from landing at Beirut Airport have failed. Furthermore, the Beirut-Baghdad air route has come under strict surveillance starting from Baghdad Airport, as part of the ceasefire agreement, which prohibits any measures that would allow the Party to rearm and rebuild its capabilities destroyed in the last war.”

The same sources indicate that “the Party initially believed it could keep the Tehran-Beirut air route open through its control of Beirut Airport, allowing it to secure funding and rebuild capabilities quickly. However, it soon realized that airport security was a red line, and bypassing international sanctions as it did in the past is no longer possible, given the state’s return and full enforcement of Resolution 1701. Consequently, the Party attempted to use the Tehran-Baghdad-Beirut air route as an alternative, making it appear as if funds were arriving via Baghdad-Beirut flights rather than Iranian airlines. However, this route also proved to be exposed and monitored, starting from Baghdad Airport itself.”

The sources add: “At this point, the Party shifted to a third alternative plan, which involved using the Tehran-Turkey-Beirut air route for money smuggling. The recent arrest of one of its members at Beirut Airport, arriving from Turkey while attempting to smuggle in $2.5 million received from an Iranian individual in Turkey, revealed that the Party’s latest alternative plan has also been exposed. The Party had placed significant hope in the success of this plan, given the high number of daily flights between Turkey and Beirut—sometimes reaching ten flights—making it difficult to thoroughly inspect and monitor all aircraft and passengers, thus increasing the chances of evading inspections and smuggling funds.”

However, the sources confirm that “the Tehran-Turkey-Beirut route is now under intense surveillance, not only in terms of security at Beirut Airport. It is important to note that a committee oversees the full implementation of Resolution 1701 and the ceasefire agreement, ensuring the prevention of the Party’s rearmament and funding. This committee is led by a U.S. general, making it likely that communications are taking place with Turkey to take the necessary measures to completely cut off the Tehran-Turkey-Beirut money smuggling route.”


Exclusif– Le plan alternatif du “parti” pour le trafic d’argent est désormais découvert

Il y a quelque temps, les autorités compétentes ont commencé, selon les informations disponibles, à constituer le dossier relatif au plan alternatif du “parti” pour le trafic d’argent, après que les voies de ce dernier se soient progressivement fermées à la suite de la guerre récente, de la chute du régime de Bachar el-Assad et du retour progressif de l’État libanais à reprendre son contrôle sur les frontières, les points de passage et les infrastructures aériennes et maritimes.

Des sources bien informées indiquent, à travers le site web des Forces Libanaises, que “le parti souffre sur le plan financier, car les opérations de trafic d’argent pour son financement deviennent de plus en plus difficiles depuis qu’il a perdu en grande partie le contrôle des frontières et des points de passage illégaux avec la Syrie à la suite de la chute du régime de son allié Assad, en plus de la prise en charge de la sécurité de l’aéroport international Rafic Hariri et du port de Beyrouth par l’Armée libanaise, ainsi que de l’échec de toutes les tentatives du ‘parti’ de créer le chaos et de menacer la sécurité pour revenir sur la décision d’interdire aux compagnies aériennes iraniennes soumises à des sanctions d’atterrir à l’aéroport de Beyrouth, sans oublier la surveillance stricte de la ligne aérienne Bagdad – Beyrouth à partir de l’aéroport de Bagdad. Cela fait partie des termes de l’accord de cessez-le-feu, qui oblige à interdire tous les moyens permettant de réarmer le ‘parti’ et de reconstruire ses capacités détruites lors de la dernière guerre.”

Les mêmes sources soulignent que “le ‘parti’ pensait initialement qu’il pourrait maintenir la ligne aérienne Téhéran – Beyrouth ouverte en contrôlant l’aéroport de Beyrouth, ce qui lui permettrait de reprendre son financement et de reconstruire ses capacités rapidement. Cependant, il a découvert que la sécurité de l’aéroport est une ligne rouge et que contourner les sanctions internationales, comme cela se faisait auparavant, est désormais interdit avec le retour de l’État et l’engagement à appliquer la résolution 1701 dans son intégralité. Le ‘parti’ a alors essayé de faire de la ligne aérienne Téhéran – Bagdad – Beyrouth une alternative pour que les fonds arrivent comme s’ils venaient de Bagdad à Beyrouth sans passer par les avions iraniens, mais il s’est avéré que cette ligne était également exposée et surveillée depuis l’aéroport de Bagdad.”

Elle ajoute : “Le ‘parti’ est alors passé à un troisième plan alternatif, à savoir utiliser la ligne aérienne Téhéran – Turquie – Beyrouth pour le trafic d’argent. L’arrestation récente d’un de ses membres à l’aéroport de Beyrouth, venant de Turquie avec 2,5 millions de dollars reçus d’un Iranien en Turquie, a révélé que le dernier plan alternatif du ‘parti’ a également été découvert. Il convient de noter que le ‘parti’ comptait beaucoup sur le succès de ce dernier plan, compte tenu du nombre de vols quotidiens entre la Turquie et Beyrouth, qui atteint parfois 10 vols, ce qui rend difficile la surveillance et l’inspection de 10 avions et de centaines de personnes, offrant ainsi plus d’opportunités pour échapper aux contrôles et pour la fuite et le trafic d’argent.”

Cependant, les sources confirment que “la ligne Téhéran – Turquie – Beyrouth est désormais découverte et sous surveillance étroite, non seulement au niveau de la sécurité de l’aéroport de Beyrouth, car il ne faut pas oublier qu’il existe un comité chargé de surveiller la mise en œuvre de la résolution 1701 dans son intégralité, avec l’accord de cessez-le-feu et l’interdiction de financer et réarmer le ‘parti’. Ce comité est dirigé par un général américain, et il est donc évident que des communications sont en cours avec la Turquie pour prendre les mesures nécessaires de son côté afin de couper complètement la ligne aérienne Téhéran – Turquie – Beyrouth pour le trafic d’argent vers le ‘parti’.”

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