Headline of the Lebanese Forces website: “The Party” is Powerless… Washington Prioritizes Disarmament
Sources close to the U.S. administration have shown little interest in the recent escalation in rhetoric by officials of “the Party,” particularly its Secretary-General Sheikh Naim Qassem, describing the party’s stance as “laughable.” According to them, there is a clear ceasefire agreement with binding and explicit terms for all parties involved, including “the Party.”
The sources, speaking to the Lebanese Forces website, note that the Party leadership “read the full text and clauses and agreed to them. The clause regarding disarmament clearly stipulates the handover of weapons starting from areas south of the Litani River. The implication is clear that this process will eventually extend north of the river as well.” The U.S. administration views this phased process as a means to fully establish the Lebanese state’s authority across all its territory without exception.
On another note, in the wake of the Party’s recent escalation in rhetoric, what some have described as a “fit of madness”, and the subsequent statements by its officials firmly clinging to their weapons, a senior security source raised critical questions via the Lebanese Forces website. The source believes this escalation will not yield any positive results for the Party; on the contrary, it may reflect a reality entirely different from what the Party seeks to portray.
The security source bases this analysis on field data, particularly the Lebanese army’s gradual takeover of positions previously held by the Party in the South. This development, along with certain “observations” that have not been publicly detailed, leads the source to conclude that the Party has suffered a “major blow and a defeat that will be difficult to recover from.” This assessment downplays the loud rhetoric and insistence on arms, seeing it as an attempt to mask growing weakness and declining influence.
The source goes further, asserting that “no matter how the Party tries to appear defiant, it cannot hide the truth.” That truth, in his view, is that the Party has become “powerless and incapable of launching any security operations against Israel.” He argues that any military action by the Party against Israel at this point would be nothing short of “suicidal and a fatal blow to what remains of the Party.”
This decisive analysis reflects a strategic assessment that the Party’s capabilities have significantly diminished, and any new military venture would bring disastrous consequences.
Manchette du site des Forces Libanaises : « Le parti » est impuissant… Washington donne la priorité au désarmement
Des sources proches de l’administration américaine ont accordé peu d’attention à la récente escalade verbale des responsables du « parti », notamment son secrétaire général, le cheikh Naïm Qassem, qualifiant la position du parti de « risible ». Selon ces sources, un accord clair de cessez-le-feu existe, comportant des clauses explicites et contraignantes pour toutes les parties, y compris le « parti ».
Ces sources, citées par le site des Forces Libanaises, indiquent que la direction du parti « a lu attentivement le texte et ses clauses, et les a approuvés. La clause concernant la remise des armes stipule clairement que le désarmement commence dans les zones situées au sud du fleuve Litani, ce qui implique clairement que ce processus s’étendra ensuite au nord du fleuve. » L’administration américaine considère ce processus progressif comme un mécanisme visant à rétablir pleinement l’autorité de l’État libanais sur l’ensemble de son territoire, sans exception.
Par ailleurs, suite à l’escalade du discours du « parti », que certains ont qualifiée de « crise de folie », et aux déclarations subséquentes affirmant fermement leur attachement aux armes, une haute source sécuritaire a soulevé, via le site des Forces Libanaises, des interrogations de fond sur les objectifs de cette montée en tension. Selon elle, cette escalade ne procurera aucun avantage au parti, mais reflète au contraire une réalité bien différente de celle que ce dernier tente de présenter.
Cette analyse s’appuie sur des données de terrain, notamment la prise en main progressive par l’armée libanaise de positions tenues jusque-là par le parti dans le Sud. Ce développement, ainsi que certaines « observations » non détaillées, amène la source à conclure que le parti a subi un « coup dur et une défaite dont il sera difficile de se relever ». Cette évaluation minimise l’importance de la rhétorique enflammée et de l’attachement aux armes, les considérant comme une tentative de dissimuler une faiblesse croissante et un recul de l’influence.
La source va plus loin en affirmant que « quelle que soit la posture du parti, il ne pourra cacher la vérité ». Cette vérité, selon elle, réside dans le fait que le parti est désormais « impuissant et incapable de mener une quelconque opération sécuritaire contre Israël ». Elle estime que toute tentative du parti de lancer une action militaire contre Israël actuellement ne serait rien d’autre qu’un « suicide et un coup fatal à ce qu’il reste du parti ».
Cette analyse tranchée reflète une évaluation stratégique selon laquelle les capacités du « parti » ont considérablement diminué, et qu’une nouvelle aventure militaire aurait des conséquences désastreuses.