Spread the love

Exclusive– To Explain the Situation of Qassem and His Party… Psychology is the Best Solution

With the end of the Easter holiday and the return of political life to motion in Lebanon, burdened with crises, observers received with unease and displeasure the statements of the Secretary-General of the “Party,” Sheikh Naeem Qassem. He expressed what some described as “terrible” and “pathological denial,” which requires treatment, placing the fundamental institutions of the Lebanese state, the Presidency of the Republic, the government, the army, and the Lebanese people as a whole in the same category as “enemies,” on equal footing with Israel. This statement, which seemed to cross all red lines, not only stirred anger and condemnation but also brought back deep questions about the “Party’s” vision of the state’s role and its relationship with the Lebanese society in all its components.

After being unable to explain Qassem’s words politically, we turned to psychology to find a solution. This description issued by Qassem, which places essential components of the state and Lebanese society in an adversarial position, reflects, according to psychologists, the depth of the denial state the “Party” and its leadership are experiencing. It seems that this condition has reached a point that warrants a serious reflection and critical review from the “Party’s” supportive environment before anyone else. Instead of facing the painful truths courageously and acknowledging any failures or challenges, the official rhetoric of the Party clings to denial of reality, perhaps even exaggerating the image of absolute power, in an attempt to maintain internal cohesion and rally its popular base.

Placing the Lebanese army, a national institution that enjoys the respect and appreciation of the majority of Lebanese, in the same category as the enemies alongside Israel, represents a dangerous transgression and disregard for the pivotal role the army plays in maintaining national security and stability, protecting the borders, and defending the country’s sovereignty. Furthermore, including the government, which represents the legitimate executive authority, and the Presidency, a symbol of state unity, in this hostile category undermines the legitimacy of these institutions and attacks their constitutional role. The more dangerous aspect is placing the Lebanese people, with all their diversity and affiliations, in this category, which reflects a possible rupture with the broader popular base that any political party should seek to represent and serve its interests.

According to psychology, this statement may be the result of a deep sense of isolation or pressure, or it may reflect a rigid ideological vision that views the world in an absolute “us vs. them” framework, with no room for nuance or differences within the same national camp. It can also be understood in the context of the “Party” trying to justify its positions and policies before its supportive environment, possibly covering up specific challenges or losses it faces by creating a unified and absolute enemy.


Exclusif– Pour expliquer la situation de Qassem et de son parti… La psychologie est la meilleure solution

Avec la fin des vacances de Pâques et la reprise de la vie politique au Liban, alourdie par les crises, les observateurs ont accueilli avec inquiétude et mécontentement les déclarations du secrétaire général du “Parti”, le cheikh Naeem Qassem. Il a exprimé ce que certains ont décrit comme un “refus terrible” et “pathologique”, nécessitant un traitement, en mettant les institutions fondamentales de l’État libanais—la présidence de la République, le gouvernement, l’armée—et le peuple libanais dans son ensemble dans la même catégorie que les “ennemis”, sur un pied d’égalité avec Israël. Cette déclaration, qui semblait franchir toutes les lignes rouges, n’a pas seulement suscité la colère et la condamnation, mais a également ravivé des interrogations profondes sur la vision du “Parti” concernant le rôle de l’État et sa relation avec la société libanaise dans toutes ses composantes.

Après avoir été incapables d’expliquer politiquement les paroles de Qassem, nous nous sommes tournés vers la psychologie pour trouver une solution. Cette description lancée par Qassem, qui place des composants essentiels de l’État et de la société libanaise du côté des adversaires, reflète, selon des spécialistes en psychologie, la profondeur de l’état de déni vécu par le “Parti” et ses dirigeants. Il semble que cette situation ait atteint un point qui nécessite une réflexion sérieuse et une révision critique de la part de l’environnement de soutien du “Parti”, avant tout autre. Au lieu de confronter courageusement les vérités, aussi douloureuses soient-elles, et de reconnaître les échecs ou défis éventuels, le discours officiel du “Parti” s’enferme dans le déni de la réalité, peut-être même en exagérant l’image d’un pouvoir absolu, dans une tentative de maintenir sa cohésion interne et de mobiliser sa base populaire.

Mettre l’armée libanaise, une institution nationale respectée et appréciée par la majorité des Libanais, dans la catégorie des ennemis aux côtés d’Israël, représente une transgression grave et un mépris pour le rôle central que l’armée joue dans le maintien de la sécurité et de la stabilité nationales, la protection des frontières et la défense de la souveraineté du pays. De plus, inclure le gouvernement, qui représente l’autorité exécutive légitime, et la présidence, symbole de l’unité de l’État, dans cette catégorie hostile sape la légitimité de ces institutions et attaque leur rôle constitutionnel. Le plus dangereux, c’est de placer le peuple libanais, dans toute sa diversité et ses affiliations, dans cette catégorie, ce qui reflète une rupture possible avec la base populaire plus large que tout parti politique devrait chercher à représenter et à servir ses intérêts.

Selon la psychologie, cette déclaration pourrait résulter d’un profond sentiment d’isolement ou de pression, ou peut-être refléter une vision idéologique rigide qui voit le monde sous un prisme absolu de “nous et les autres”, sans place pour les nuances ou les différences au sein du même camp national. Elle peut aussi être interprétée dans le cadre de la tentative du “Parti” de justifier ses positions et politiques devant son environnement de soutien, en masquant peut-être certains défis ou pertes qu’il rencontre, en créant un ennemi unique et absolu.

https://www.lebanese-forces.com/2025/04/23/علم-النفس

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *