Headline of the Lebanese Forces website: Iran Places Its Proxies Under the Guillotine of Negotiations
The speeches on April 13, commemorating the outbreak of the Lebanese civil war, were notable for their unified call to confine weapons to the authority of the state. President Joseph Aoun emphasized that any weapons outside the framework of the state pose a threat to Lebanon and its stability, an implicit reference to Hezbollah’s arms. Likewise, Prime Minister Nawaf Salam affirmed his commitment to the process of placing all weapons under the state’s control. Observers see this as a clear sign of Lebanon’s seriousness in addressing this issue, especially after the momentum provided by U.S. envoy Morgan Ortagus in this direction.
Observers quoted by the Lebanese Forces website note that international sentiment reflects the reality that Lebanon faces major challenges in asserting state control over all arms, particularly amid the presence of armed militias and regional powers seeking to preserve their influence. However, there appears to be both political will and internal consensus on the necessity of restoring full state authority.
In this context, Hezbollah continues to speak in outdated strategic terms, believing that by discussing a “defensive strategy,” it can preserve its arms, at least to some extent. But this is yet another miscalculation by the party. The course is set, and ongoing military operations against Iran’s proxies make it clear there is no room left for maintaining Tehran’s armed extensions, from Hezbollah to the Houthis in Yemen. Iran, sitting at the negotiating table with the U.S., fully understands that the time has come to relinquish its proxies. Informed sources confirmed that Iran reiterated during the negotiations that it has no proxies, signaling its willingness to abandon them.
The sources added on the Lebanese Forces website: “Amidst regional and international transformations, Hezbollah still clings to outdated strategies, thinking that talking about a ‘defensive strategy’ will allow it to keep its weapons. But reality shows this is no longer viable, and both local and international pressure is mounting for Hezbollah to surrender its arms.”
Sources believe Iran has shown readiness to part with its armed proxies in the region. Well-informed insiders affirmed that Iran does not consider Hezbollah and other armed groups as its agents, which is interpreted as a willingness to let them go. This shift coincides with Iran’s negotiations with the U.S. in Oman, reflecting a desire for a strategic change in the region.
Manchette du site des Forces Libanaises : L’Iran retire la bouchée de la bouche du « parti » pour la donner à Trump
Alors que l’Iran s’assoit à la table des négociations avec les États-Unis, ses intentions deviennent parfaitement claires. Tous les slogans révolutionnaires scandés pendant des années – comme « Mort à l’Amérique » – ont soudainement disparu, remplacés par une offre alléchante de 4 000 milliards de dollars en cas d’accord. Ce montant révèle l’ampleur des concessions que Téhéran est prêt à faire pour préserver son régime.
Malgré l’aura que l’Iran s’est longtemps construite dans la région, la réalité du « parti » et de ses alliés au Liban dévoile les contradictions de ce régime, dont la base populaire continue de s’enliser dans des crises économiques et sociales. Les citoyens, victimes des politiques régionales de guerre de l’Iran, se retrouvent sans abri ni espoir.
Les offres de l’Iran vers Washington se multiplient, allant de promesses financières faramineuses à des concessions politiques, dans une tentative évidente de sauver son régime, désormais plus soucieux de sa survie que des crises humanitaires qu’il a contribué à provoquer.
Pis encore, l’Iran semble prêt à renoncer à son rêve nucléaire – autrefois fierté nationale – pour sauver le trône du Guide suprême, ce qui constitue une rupture flagrante avec ses positions passées, selon des spécialistes de la question iranienne.
Dans ce « souk » de négociations, le « parti » tente de garder la tête hors de l’eau face aux changements mondiaux. Il semble qu’il ait choisi de lever le rideau sur un nouvel acte intitulé « stratégie défensive ». Mais il y a un petit problème… personne ne sait vraiment quelle défense est évoquée ! Défense du Liban ou des intérêts de l’Iran ? Depuis quand l’arsenal du « parti » fait-il partie de la stratégie défensive libanaise ?
Les armes que le « parti » tient à conserver n’ont jamais été destinées à défendre les frontières libanaises contre des menaces israéliennes ou toute autre agression extérieure. Elles ont toujours été des outils d’exécution d’agendas étrangers au profit d’autres États – notamment Téhéran.
Le parti croit-il vraiment que les Libanais sont assez naïfs pour croire que ces armes ne servent qu’à protéger les frontières nationales ? Et que dire de la protection de l’économie libanaise, qui souffre justement à cause du « parti » ?
Des sources politiques, citées par le site des Forces Libanaises, estiment que la soi-disant « stratégie défensive » du parti est en réalité la plus grande blague politique de la région. Alors que tous réclament la construction d’une armée nationale forte, le parti s’accroche à son arsenal privé et exige que les Libanais acceptent qu’il soit la seule force armée équipée du pays.
Les mêmes sources ajoutent : « À chaque fois que la question des armes du parti est évoquée, celui-ci nous ressert la même vieille marchandise sous le nom de ‘stratégie défensive’. Comme si nous ne savions pas qu’il n’existe en réalité aucune stratégie, mais juste un écran de fumée pour légitimer la conservation d’un arsenal complet de missiles et d’explosifs en dehors de l’autorité de l’État, au nom de la ‘résistance’. »