Exclusive – The President between the NAFIA and the Port of Beirut… Farewell to “Easy Money”
President Joseph Aoun did well by inspecting vital public facilities, such as the NAFIA (vehicle registration authority) and the Port of Beirut, which for years were considered among the main strongholds of corruption in Lebanon. These facilities, perceived by citizens as a “treasure trove of corruption,” were surrounded by countless suspicions and plagued with widespread corruption cases, representing a daily challenge for citizens struggling to complete their paperwork.
This step by the President, which comes at a critical time, was widely welcomed by citizens who have long felt that corruption was the driving force behind state institutions. According to circulating reports and as learned by the Lebanese Forces website, President Aoun’s visit had a very positive impact on those present, giving them a strong sense of reassurance that the situation in these public facilities would not remain the same. Strong signs have emerged that any negligence will be addressed and that those responsible for corruption will be held accountable.
Moreover, the visit demonstrated a firm determination to address the issue of brokerage and middlemen, which have deeply infiltrated decision-making centers and burdened citizens. These facilities were a stage for illegal practices that threatened the economy and hindered the progress of the state. The President’s statements indicated that Lebanon will no longer be a haven for monopolized corruption, that public interest must come first, and that any attempt to exploit positions and facilities for personal gain will be under strict scrutiny.
This visit, therefore, is not a mere routine step or symbolic gesture—it is a powerful message that Lebanon today needs concrete steps to rebuild trust in state institutions and to achieve justice for all citizens. Whatever the cost, eliminating corruption and questionable practices in these facilities will be a top priority for President Aoun’s term and will help restore some dignity to the Lebanese citizen, who has long suffered from mismanagement and neglect.
Exclusif– Le Président entre la NAFIA et le Port de Beyrouth… Adieu au “gros butin sans maître”
Le Président de la République, Joseph Aoun, a bien fait de visiter des infrastructures publiques vitales, comme la NAFIA (l’autorité de l’immatriculation des véhicules) et le Port de Beyrouth, qui ont longtemps été considérées comme des bastions majeurs de la corruption au Liban. Ces institutions, perçues comme une “caverne d’Ali Baba” par les citoyens, étaient entourées de nombreux soupçons et d’innombrables dossiers de corruption, posant un défi quotidien aux citoyens pour accomplir leurs démarches.
Cette initiative du Président, qui intervient à un moment crucial, a été très bien accueillie par les citoyens, qui ont toujours eu le sentiment que la corruption était le moteur des institutions de l’État. Selon les informations recueillies par le site des Forces Libanaises, la visite du Président Aoun a eu un effet très positif sur les personnes présentes, leur apportant une grande tranquillité d’esprit en leur montrant que la situation dans ces services publics ne restera pas inchangée. Des signaux clairs montrent que toute négligence sera corrigée, et que les responsables de la corruption seront tenus pour compte.
De plus, cette visite a révélé une ferme volonté de s’attaquer au problème du clientélisme et de l’intermédiation, qui ont profondément gangrené les centres de décision et alourdi la vie des citoyens. Ces établissements étaient le théâtre de pratiques illégales menaçant l’économie et freinant la progression de l’État. Les déclarations du Président dans ce sens indiquent que le Liban ne sera plus un lieu de monopole de la corruption, que l’intérêt public doit primer, et que toute tentative d’exploitation des postes et des infrastructures à des fins personnelles sera strictement surveillée.
Cette visite n’est donc pas une simple formalité ou une démarche symbolique, mais un message fort indiquant que le Liban a besoin aujourd’hui d’actions concrètes pour reconstruire la confiance dans les institutions de l’État et rendre justice à tous les citoyens. Quel qu’en soit le prix, l’éradication de la corruption et des pratiques douteuses dans ces structures sera une priorité du mandat du Président Aoun, et un gage de restauration de la dignité du citoyen libanais, longtemps éprouvé par la mauvaise gestion et l’indifférence.