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Headline of the Lebanese Forces website: Iran Whispers in the Party’s Ear… LF Presses for a Timetable

The “Party” has expressed its willingness to discuss handing over its weapons, but it set a key condition: Israel must withdraw from the five disputed points, according to a source close to the “Party” speaking to Reuters. This statement comes at a sensitive time following intense U.S. and international pressure to relinquish the Party’s illegal arms. Notably, the statement appears to have been made following the visit of U.S. envoy Morgan Ortagus to Lebanon, amid reports of upcoming negotiations between Washington and Tehran in Amman in the coming days.

However, as with most complex political decisions and statements, there seems to be some ambiguity behind this apparent flexibility from the Party’s leadership. Some believe there’s a hidden agenda behind this move. Political sources indicate that Iran may be behind this shift in the Party’s stance. These sources, cited by the Lebanese Forces website, rule out the possibility that the Party made this decision independently and believe that Tehran—amid negotiations with Washington—may be choosing to display some flexibility to ensure the talks proceed in a calmer environment.

Iran, seeking to regain its footing in the region after years of sanctions and pressure, may be attempting to show openness to dialogue through the Party—similar to what is happening in Iraq, where Iran-backed militias have begun signaling readiness to negotiate disarmament. This Iranian move comes at a critical time for the United States, which is facing multiple challenges in Iraq, Yemen, and Lebanon due to Iran’s ongoing influence.

On its part, the Lebanese Forces Party holds the principled position that a functioning state cannot exist with two competing arms, a stance now shared internationally. Numerous past experiences have proven the failure of state-building under the presence of illegal arms—from Palestinian to Syrian and now Iranian arms in the hands of the Party—resulting in years of failure and destruction.

LF sources add: “There are basic principles: no country can achieve stability and prosperity without the state’s monopoly on weapons. Today we are witnessing the last breaths of a destructive Iranian expansionist project. It is no longer what it once was, even within Iran itself, and it must now choose between surrendering or confronting the U.S.”

The sources continue via the Lebanese Forces website: “What has happened in Lebanon is that the balance of power has shifted. For the first time, authority was restructured, a government was formed, and a prime minister was appointed without reference to the Resistance or the logic of force. Since 1990, this is the first time the official Lebanese stance truly reflects the Lebanese Constitution, unlike previous positions that defended the Assad regime and the Resistance along with its supreme guide.”


Titre du site des Forces Libanaises : L’Iran murmure à l’oreille du “Parti”… les FL poussent pour un calendrier

Le “Parti” a exprimé sa disposition à discuter de la remise de ses armes, mais à une condition essentielle : le retrait d’Israël des cinq points disputés, selon une source proche du “Parti” citée par Reuters. Cette déclaration survient à un moment sensible, après des pressions intenses de la part des États-Unis et de la communauté internationale pour la remise des armes illégales détenues par le “Parti”. Il convient de noter que cette déclaration semble avoir été faite après la visite de l’envoyée américaine Morgan Ortagus au Liban, et alors que la région est le théâtre de discussions sur d’éventuelles négociations entre Washington et Téhéran à Amman dans les prochains jours.

Cependant, comme c’est souvent le cas avec les déclarations et décisions politiques complexes, une part de flou entoure cette flexibilité apparente de la direction du “Parti”. Certains y voient une manœuvre cachée. Des sources politiques bien informées estiment que l’Iran pourrait être à l’origine de ce changement apparent de position. Ces sources, citées par le site des Forces Libanaises, excluent que le Parti ait pris cette décision de manière autonome et pensent que Téhéran, en pleine négociation avec Washington, cherche à montrer une certaine souplesse pour permettre aux discussions de se dérouler dans un climat plus apaisé.

L’Iran, qui tente de retrouver un équilibre sur la scène régionale après des années de pressions et de sanctions, essaierait peut-être de montrer une ouverture au dialogue à travers le “Parti”, comme c’est le cas en Irak, où les milices pro-iraniennes ont commencé à exprimer leur volonté de discuter du désarmement. Ce geste iranien survient à un moment critique pour les États-Unis, confrontés à des défis multiples en Irak, au Yémen, et au Liban où l’influence iranienne perdure.

Pour sa part, le Parti des Forces Libanaises maintient que sa position de principe concernant les armes du “Parti” repose sur l’idée qu’un État ne peut exister avec deux forces armées. Cette position est désormais largement soutenue au niveau international. De nombreuses expériences ont prouvé l’échec de la construction de l’État sous la présence d’armes illégales : qu’il s’agisse des armes palestiniennes, syriennes ou iraniennes entre les mains du “Parti”, cela n’a conduit qu’à des années d’échecs et de destruction.

Les sources “forcesistes” ajoutent : « Il existe des principes évidents : aucun pays ne peut connaître la stabilité et la prospérité sans le monopole étatique de l’armement. Aujourd’hui, nous assistons aux derniers souffles d’un projet expansionniste iranien destructeur. Il n’est plus ce qu’il était ces dernières années, et il est désormais en crise, même à l’intérieur de l’Iran. L’Iran doit choisir entre céder ou affronter les États-Unis. »

Les sources poursuivent via le site des Forces Libanaises : « Ce qui s’est produit au Liban, c’est un changement dans les rapports de force. Pour la première fois, le pouvoir a été reconstruit, un gouvernement formé, un Premier ministre nommé, et une déclaration ministérielle a été établie sans référence à la résistance ou à la logique de la force. Depuis 1990, c’est la première fois que la position officielle libanaise reflète véritablement la Constitution libanaise, alors qu’auparavant elle défendait le régime Assad et la résistance ainsi que son guide suprême. »

https://www.lebanese-forces.com/2025/04/10/إيران-522

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