Headline of the Lebanese Forces website: After Iraq… “The Party’s Turn Is Coming”
Several powerful armed factions in Iraq backed by Iran are entering a new phase, having for the first time made a serious decision to disarm — a step aimed at avoiding escalation that could threaten their stability amid growing U.S. pressure. These factions, long operating outside the framework of the Iraqi state, are beginning to realize the extent of the threats they face, especially after unofficial warnings from U.S. officials about the potential for conflict under President Donald Trump’s administration.
This change in Iraq raises significant questions about what might happen in Lebanon. The Iraqi factions, which follow the same Iranian ideology, are starting to understand that resisting disarmament could destroy their interests. This means “the Party” in Lebanon is now facing a difficult test. Developments in Iraq signal that Iran-backed factions in Lebanon may not be spared the same pressure and threats confronting those in Iraq.
Diplomatic sources told the “Lebanese Forces” website that the United States will not hesitate to take tough measures against “the Party” if it does not comply with demands to disarm, especially as voices in Iraq grow louder in calling for all Iranian proxies to give up their weapons. This message is not just a warning — it’s a call to assess the reality carefully. If “the Party” continues to follow Iran’s losing project, U.S. pressure will be stronger than ever. Regional wars may be bitter, but sanctions and targeted actions could prove even more painful.
On another note, exclusive sources told the LF website that Iran is trying to manipulate the situation by handing over its militias’ weapons in Iraq, aiming to show “goodwill” toward the U.S., believing this tactic might ease the pressure. However, this step seems insufficient for the American administration, which is specifically seeking to eliminate Iran-backed militias and end their armed influence in the region altogether.
The sources added: “Although Iran may have chosen to stay out of direct confrontation with Israel in the current conflict — its role sidelined since the beginning of the war — its most crucial battle is in Lebanon, particularly on the southern front, a hotspot where Iranian and Israeli interests intersect. If Tehran truly wishes to demonstrate goodwill to the U.S. and promote some stability in Lebanon, it must — as it did in Iraq — initiate the disarmament of ‘the Party’ in Lebanon. Yet despite the pressure, Iran seems unwilling to make such a concession and continues to maneuver politically without giving the green light to surrender this strategic weapon.”
Titre du site des Forces Libanaises : Après l’Irak… « Le tour du Parti arrive »
Plusieurs factions armées puissantes en Irak, soutenues par l’Iran, vivent une nouvelle étape, ayant décidé pour la première fois de manière sérieuse de se désarmer. Cette démarche vise à éviter une escalade qui pourrait menacer leur stabilité face aux pressions américaines croissantes. Ces factions, qui ont longtemps agi en dehors du cadre de l’État irakien, commencent à percevoir l’ampleur des menaces qui les guettent, surtout après des avertissements officieux de responsables américains évoquant une possible intensification du conflit sous l’administration du président Donald Trump.
Ce changement en Irak ouvre la voie à de grandes interrogations concernant le Liban. Les factions irakiennes, partageant l’idéologie iranienne, réalisent qu’une opposition au désarmement pourrait compromettre leurs intérêts. Cela signifie que « le Parti » au Liban fait désormais face à une épreuve difficile. Les messages transmis par l’évolution de la situation en Irak indiquent que les factions pro-iraniennes au Liban ne seront peut-être pas épargnées par les mêmes pressions et menaces qui pèsent sur celles d’Irak.
Des sources diplomatiques ont affirmé au site des « Forces Libanaises » que les États-Unis n’hésiteront pas à prendre des mesures sévères contre « le Parti » s’il refuse de remettre ses armes, notamment avec la montée des voix en Irak appelant toutes les milices iraniennes à se désarmer. Ce message n’est pas qu’un simple avertissement, mais un appel à lire la réalité avec lucidité. Si « le Parti » persiste à suivre le projet perdant de l’Iran, les pressions américaines seront plus fortes que jamais. Les guerres régionales peuvent être amères, mais les sanctions et les ciblages peuvent l’être davantage encore.
Par ailleurs, des sources exclusives ont révélé au site des « Forces Libanaises » que l’Iran tente de manipuler la situation en remettant les armes de ses milices en Irak, essayant ainsi de montrer sa « bonne volonté » envers les États-Unis, pensant que cette tactique pourrait alléger les pressions. Toutefois, cette initiative semble insuffisante aux yeux de l’administration américaine, qui cherche plus précisément à éradiquer les milices pro-iraniennes et à mettre fin à leur influence armée dans la région.
Les sources ajoutent : « Bien que l’Iran ait peut-être choisi de se tenir à l’écart d’un affrontement direct avec Israël dans le conflit actuel , son rôle ayant été marginalisé depuis le début de la guerre, la bataille la plus cruciale pour Téhéran se joue au Liban, notamment sur le front sud, point névralgique où les intérêts iraniens et israéliens s’entrecroisent. Si Téhéran veut vraiment faire preuve de bonne volonté envers les États-Unis et instaurer une certaine stabilité au Liban, elle doit, comme en Irak, prendre l’initiative de désarmer « le Parti » au Liban. Pourtant, malgré les pressions, l’Iran ne semble pas encore prête à faire cette concession et continue de jouer sur les mots sans donner son feu vert au désarmement de cette arme stratégique. »