“Free Thought”: They Benefit from Its Goodness and Pledge Allegiance to Others
Since the withdrawal of the Assad army from Lebanon, the resistance group has participated in the official government for one sole purpose: their narrow personal, service, and strategic interests, with no regard for what serves the higher interests of Lebanon and the Lebanese people.
They participate in Lebanese governments to benefit from them, but they pledge loyalty to others. And if any government majority shows even the slightest national differentiation with the interests and agenda of this axis, they threaten, make promises, retreat, resign, and obstruct, as happened during the era of Prime Minister Fouad Siniora’s government and afterward. Their presence is like that of a “leech” within the government.
The sectarian formula in power-sharing not only assumes that Lebanese sects receive proportional parliamentary and ministerial shares, but it also obligates these MPs and ministers to adhere to the provisions of the Lebanese constitution and laws. The representative rights granted to the sects by the state are matched by duties from these sects and their representatives in the government towards this state and its institutions. The most important of these duties is the obligation to adhere to the constitution, laws, and the decisions of Arab and international legitimacy, as well as to respect Lebanon’s founding charter principle of “neither East nor West.”
However, if the sectarian power-sharing formula becomes an excuse to undermine all the founding charter principles of Lebanon under this slogan, merely absorbing Lebanon’s energy and resources and weakening the official authority for the benefit of internal parties that are organically linked to external forces, then this principle has been applied in a flawed and inaccurate manner. In that case, the essence of this formula must be reconsidered from its foundation, so its existence may align with its original purpose of serving Lebanon, fostering coexistence, diversity, and pluralism within it.
“Pensée Libre” : Ils Bénéficient de Ses Bienfaits et Pledgent Allégeance à D’autres
Depuis le retrait de l’armée Assadienne du Liban, le groupe de la résistance participe au gouvernement officiel pour une seule raison : leurs intérêts personnels, de service et stratégiques étroits, sans aucun égard pour ce qui sert les intérêts supérieurs du Liban et des Libanais.
Ils participent aux gouvernements libanais pour en profiter, mais ils prêtent allégeance à d’autres. Et si une majorité gouvernementale montre ne serait-ce qu’une légère différenciation nationale par rapport aux intérêts et à l’agenda de cet axe, ils menacent, promettent, se retirent, démissionnent et bloquent, comme cela s’est produit pendant le gouvernement du Premier ministre Fouad Siniora et après. Leur présence est comparable à celle d’une “sangsue” au sein du gouvernement.
La formule sectaire dans le partage du pouvoir ne suppose pas seulement que les sectes libanaises reçoivent des parts parlementaires et ministérielles proportionnelles, mais elle oblige ces députés et ministres à respecter les dispositions de la constitution libanaise et des lois. Les droits de représentation accordés par l’État aux sectes sont contrebalancés par des devoirs de la part de ces sectes et de leurs représentants dans le gouvernement envers cet État et ses institutions. Le devoir le plus important est l’obligation de respecter la constitution, les lois, ainsi que les décisions de la légitimité arabe et internationale, et de respecter le principe fondateur de la charte du Liban “ni l’Est ni l’Ouest.”
Cependant, si la formule sectaire de partage du pouvoir devient un prétexte pour miner tous les principes fondateurs du Liban sous ce slogan, absorbant simplement l’énergie et les ressources du Liban et affaiblissant l’autorité officielle au profit de parties internes liées organiquement à des forces extérieures, alors ce principe a été appliqué de manière erronée et inexacte. Dans ce cas, il convient de revoir l’essence de cette formule depuis ses fondements, afin que son existence soit en accord avec son but initial de servir le Liban, la coexistence, la diversité et le pluralisme au sein de celui-ci.