Exclusive – “The Party” Still Present South of the Litani
In less than 24 hours, a group of the party’s members was targeted three times, resulting in the deaths of seven of them. What stands out about these attacks is that they all took place south of the Litani, an area that is supposed to be free of any party presence under ceasefire agreements and resolutions following the last war.
The timing of these attacks adds to their significance, as they occurred during the transportation of weapons, indicating that the party is still active in that region despite commitments to cease military operations.
Field sources told the Lebanese Forces’ website that these incidents highlight the party’s failure to fully adhere to ceasefire agreements or the Lebanese army’s deployment plan in the south. The party’s presence in this area, especially during the transfer of weapons, raises questions about the reality of its withdrawal and its commitment to its responsibilities under these agreements.
The sources added, “What complicates the situation further is that these attacks are happening at a sensitive time when tensions in the region are escalating. This places Lebanon in a precarious position, as these military and logistical activities could further destabilize security in the south and open the door to a military escalation that neither Lebanon nor its political forces desire.”
The sources believe these incidents confirm that the party still has the ability to move and engage in military activities in areas where it is supposed to be prohibited. This reflects a gap between the official discourse on commitment to the ceasefire and the military operations occurring on the ground.
Notably, according to the sources, “These attacks come at a critical time when the region is experiencing heightened tensions, particularly the military escalations in Gaza and reports of a potential strike on Iran, which seeks to expand its nuclear activities. This puts Lebanon in an extremely sensitive position, as such an escalation could lead to increased military tensions along the southern Lebanese border with Israel, dragging Lebanon back into a cycle of violence and war, and raising the possibility of further escalation, potentially pushing the region into instability once again.”
Exclusif – « Le Parti » Toujours Présent au Sud du Litani
En moins de 24 heures, un groupe de membres du parti a été ciblé à trois reprises, entraînant la mort de sept d’entre eux. Ce qui est frappant dans ces attaques, c’est qu’elles ont toutes eu lieu au sud du Litani, une zone censée être exempte de toute présence du parti conformément aux accords de cessez-le-feu et aux résolutions adoptées après la dernière guerre.
Le timing de ces attaques renforce leur importance, car elles se sont produites lors du transport d’armes, ce qui signifie que le parti reste actif dans cette région malgré ses engagements à cesser les opérations militaires.
Des sources sur le terrain ont indiqué au site des Forces libanaises que ces incidents mettent en évidence le non-respect total par le parti des accords de cessez-le-feu ou du plan de déploiement de l’armée libanaise dans le sud. La présence du parti dans cette zone, en particulier pendant le transfert d’armes, soulève des interrogations sur la réalité de son retrait et son engagement envers ces accords.
Les sources ajoutent : « Ce qui complique encore la situation, c’est que ces attaques surviennent à un moment sensible où les tensions dans la région s’intensifient. Cela place le Liban dans une position délicate, car ces activités militaires et logistiques pourraient aggraver l’insécurité dans le sud et ouvrir la voie à une escalade militaire que ni le Liban ni ses forces politiques ne souhaitent. »
Selon les sources, ces incidents confirment que le parti dispose toujours d’une capacité de mouvement et d’activités militaires dans des zones qui lui sont pourtant interdites. Cela met en évidence un décalage entre le discours officiel sur l’engagement au cessez-le-feu et les opérations militaires qui ont lieu sur le terrain.
Il est également à noter, selon les sources, que « ces attaques interviennent à un moment critique où la région connaît une montée des tensions, notamment avec les escalades militaires à Gaza et les rapports évoquant une éventuelle frappe contre l’Iran, qui cherche à étendre ses activités nucléaires. Cela place le Liban dans une situation extrêmement sensible, car cette escalade pourrait conduire à une intensification des tensions militaires à la frontière sud du Liban avec Israël, replongeant le pays dans un cycle de violence et de guerres, et ouvrant la porte à des scénarios d’escalade, ce qui pourrait ramener la région à une instabilité persistante. »