Headline from “Lebanese Forces” Website: A Strong Foreign Ministry
It is no surprise that the Lebanese Forces Party continues its commitment to responsibility and perseverance in improving Lebanon’s administrative and institutional reality. This approach was once again reflected in an initiative by Minister of Foreign Affairs and Emigrants, Joe Rgi, who took the step of inspecting the operations of institutions under his ministry. His goal remains to enhance the services provided to citizens and address complaints regarding inefficiencies and shortcomings that tarnish the ministry’s reputation.
This initiative aligns with the legacy of the party’s founder, the martyr Bachir Gemayel. Despite his short 21-day presidency, Gemayel was able to reorganize and restructure many Lebanese institutions. He recognized the importance of administrative reform in building a strong state, and his brief tenure marked a turning point in improving the efficiency and organization of governmental institutions. The Lebanese Forces Party has continued to uphold this approach over the past decades.
According to observing sources, Minister Joe Rgi’s actions were considered a milestone in the Lebanese political and administrative landscape. Sources told the Lebanese Forces website:
“For many years, since the era of Bachir Gemayel, we have not seen a minister who truly takes responsibility for citizens and strives to improve the functioning of state institutions in this manner. Rgi genuinely reflects the Lebanese Forces Party’s approach, which prioritizes public interest over personal or partisan gains.”
On another front, and in a different scene reflecting the dangers of the party’s continued military activities, within less than 24 hours, a group affiliated with the party was targeted three times, resulting in the death of seven of its members. Notably, these attacks all occurred south of the Litani River, a region that is supposed to be free of the party’s presence under ceasefire agreements and resolutions following the last war. The timing of these attacks is also significant, as they happened during the transportation of weapons, indicating that the party remains active in the area despite commitments to halt military operations.
Field sources told the Lebanese Forces website that these incidents highlight the party’s failure to fully comply with ceasefire agreements and the Lebanese army’s deployment plan in the south. The presence of party members in that area, especially while transferring weapons, raises questions about the reality of their withdrawal and their commitment to these agreements.
The sources further stated:
“What complicates the situation even more is that these attacks come at a sensitive time when the region is witnessing escalating tensions. This places Lebanon in a precarious position, as such military and logistical movements could exacerbate security concerns in the south and pave the way for an unwanted military escalation that neither Lebanon nor its political forces desire.”
Titre du site des “Forces Libanaises” : Un Ministère des Affaires Étrangères Fort
Il n’est pas surprenant que le parti des Forces Libanaises continue de faire preuve de responsabilité et de persévérance dans l’amélioration de la réalité administrative et institutionnelle du Liban. Cette approche s’est une nouvelle fois illustrée à travers l’initiative du ministre des Affaires étrangères et des Émigrés, Joe Rgi, qui a entrepris d’inspecter le fonctionnement des institutions relevant de son ministère. Son objectif demeure l’amélioration des services fournis aux citoyens et le traitement des plaintes concernant les dysfonctionnements et les lacunes nuisant à la réputation du ministère.
Cette initiative s’inscrit dans la continuité de l’héritage du fondateur du parti, le martyr Bachir Gemayel. Malgré la brièveté de son mandat de 21 jours, Gemayel a su réorganiser et restructurer de nombreuses institutions libanaises. Il avait compris l’importance de la réforme administrative dans la construction d’un État fort, et son court passage à la présidence a marqué un tournant dans l’amélioration de l’efficacité et de l’organisation des institutions gouvernementales. Le parti des Forces Libanaises a poursuivi cette approche au fil des décennies.
Selon des sources observatrices, l’initiative du ministre Joe Rgi a été considérée comme un moment clé dans le paysage politique et administratif libanais. Des sources ont déclaré au site des Forces Libanaises :
“Depuis de nombreuses années, depuis l’ère de Bachir Gemayel, nous n’avons pas vu un ministre assumer véritablement ses responsabilités envers les citoyens et chercher à améliorer le fonctionnement des institutions de l’État de cette manière. Rgi reflète fidèlement l’approche des Forces Libanaises, qui privilégient toujours l’intérêt public aux intérêts personnels ou partisans.”
Sur un autre plan, et dans un contexte différent qui reflète les dangers des activités militaires continues du parti, en moins de 24 heures, un groupe affilié au parti a été ciblé trois fois, entraînant la mort de sept de ses membres. Fait notable, ces attaques ont toutes eu lieu au sud du Litani, une région censée être exempte de toute présence du parti en vertu des accords et résolutions de cessez-le-feu qui ont suivi la dernière guerre. Le timing de ces attaques est également significatif, car elles se sont produites lors du transport d’armes, ce qui indique que le parti reste actif dans cette zone malgré ses engagements à cesser ses opérations militaires.
Des sources sur le terrain ont indiqué au site des Forces Libanaises que ces incidents soulignent le non-respect total par le parti des accords de cessez-le-feu et du plan de déploiement de l’armée libanaise dans le sud. La présence du parti dans cette région, en particulier lors du transport d’armes, soulève des questions sur la réalité de leur retrait et leur engagement envers ces accords.
Les sources poursuivent :
“Ce qui complique encore davantage la situation, c’est que ces attaques surviennent à un moment sensible où la région connaît des tensions croissantes. Cela place le Liban dans une position délicate, car ces mouvements militaires et logistiques pourraient aggraver la situation sécuritaire dans le sud et ouvrir la porte à une escalade militaire que ni le Liban ni ses forces politiques ne souhaitent.”