Lebanese Forces Website Headline: A “Khamenei Message” to Lebanon and Syria!
With the changing political landscape in Syria and shifts in power, Iran continues its attempts to leave its ideological imprint through Khamenei’s policies, which fuel tensions in the region. Despite the new Syrian authorities’ efforts to assert control and stabilize the internal situation, Iran still plays a significant role in destabilizing the region by supporting loyal militias and creating tension hotspots that keep the area in a state of unrest.
Experts on Iranian affairs, speaking to the Lebanese Forces website, believe that recent events in Syria—particularly in coastal areas—serve as a clear message from Iran that it still has the ability to influence the security situation in Syria, albeit at a lower intensity than before, despite the shifts in power and Syria’s efforts to restore its sovereignty. This Iranian maneuver not only reflects Tehran’s determination to maintain regional tensions but also its attempt to preserve its influence despite suffering major losses.
Experts add: “Iran does not stop using the military and political tools it has established in the region, including its affiliated armed militias. In Lebanon, the Iranian message was even clearer, especially through the recent rocket launch from the south towards Israel. This was not just a mere military event but rather a demonstration that Iran remains a key player and that its influence in southern Lebanon remains intact.”
Amid these Iranian messages, “the party” is experiencing internal tensions and uncertainty. Conflicts have escalated between the military base, consisting of field commanders appointed after the last war, and the party’s political leadership, represented by Sheikh Naim Qassem and his political team. This internal struggle nearly spiraled out of control if not for Iran’s decisive intervention, which played a crucial role in containing the disputes and maintaining the party’s internal balance.
According to exclusive sources, Iran has been closely monitoring these conflicts since the assassination of Sayyed Nasrallah but has been unable to find a strong figure capable of unifying the warring factions within the party. As a result, Tehran determined that Naim Qassem was incapable of filling the void left by Nasrallah, exacerbating internal disputes that threatened the party’s stability.
Sources tell the Lebanese Forces website: “In a strategic move, Iran decided to take full control of the party’s military affairs, focusing on separating the military leadership from the political leadership. This decision, which led Iran to assume direct field command, aims to prevent internal political disputes. By doing so, Iran maintained military dominance over the party while leaving political affairs under the supervision of Naim Qassem and his team, ensuring a balance within the party’s structure.”
Manchette du site des Forces Libanaises : Un “message de Khamenei” au Liban et à la Syrie !
Avec l’évolution du paysage politique en Syrie et les changements de pouvoir, l’Iran continue de tenter d’imposer son empreinte idéologique à travers les politiques khaménéistes, qui alimentent les tensions dans la région. Malgré les efforts des nouvelles autorités syriennes pour affirmer leur contrôle et stabiliser la situation intérieure, l’Iran joue toujours un rôle majeur dans la déstabilisation de la région en soutenant des milices loyales et en créant des foyers de tension qui maintiennent la région dans un état d’instabilité.
Des experts des affaires iraniennes, s’exprimant sur le site des Forces Libanaises, estiment que les récents événements en Syrie, notamment dans les régions côtières, constituent un message clair de l’Iran, indiquant qu’elle est encore capable d’influencer la situation sécuritaire en Syrie, bien que dans une moindre mesure qu’auparavant, malgré les changements de pouvoir et la volonté de la Syrie de retrouver sa souveraineté. Cette manœuvre iranienne traduit non seulement la détermination de Téhéran à entretenir les tensions régionales, mais aussi sa tentative de préserver son influence malgré des pertes considérables.
Les experts ajoutent : « L’Iran ne cesse d’utiliser les outils militaires et politiques qu’il a mis en place dans la région, y compris ses milices armées affiliées. Au Liban, le message iranien était encore plus clair, notamment à travers le récent tir de roquettes depuis le sud en direction d’Israël. Cet événement ne se résume pas à une simple action militaire, mais représente en réalité une tentative de l’Iran de montrer qu’il reste un acteur clé et que son influence dans le sud du Liban demeure intacte. »
Dans ce contexte, « le parti » traverse une période de tensions et d’incertitudes internes. Des conflits ont éclaté entre la base militaire, composée de commandants de terrain nommés après la dernière guerre, et la direction politique du parti, représentée par le cheikh Naïm Qassem et son équipe politique. Cette lutte interne a failli dégénérer sans l’intervention décisive de l’Iran, qui a joué un rôle clé dans la maîtrise des dissensions et le maintien de l’équilibre interne du parti.
Selon des sources exclusives, l’Iran suit de près ces conflits depuis l’assassinat de Sayyed Nasrallah, mais n’a pas réussi à trouver une figure forte capable d’unifier les factions rivales au sein du parti. Par conséquent, Téhéran a conclu que Naïm Qassem n’était pas en mesure de combler le vide laissé par Nasrallah, ce qui a exacerbé les tensions internes menaçant la stabilité du parti.
Les sources déclarent au site des Forces Libanaises : « Dans une manœuvre stratégique, l’Iran a décidé de prendre le contrôle total des affaires militaires du parti, en se concentrant sur la séparation entre la direction militaire et la direction politique. Cette décision, qui a conduit l’Iran à assumer directement le commandement militaire, vise à éviter les conflits politiques internes. Ainsi, l’Iran a maintenu sa domination militaire sur le parti tout en laissant les affaires politiques sous la supervision de Naïm Qassem et de son équipe, garantissant ainsi un équilibre au sein de la structure du parti. »