Exclusive – Risks of a Single Electoral District: Reduced Representation and Marginalization of the Christian Voice
The idea of dividing Lebanon into a single electoral district under the electoral law is a sensitive issue with significant political and social implications. Implementing this system, which expands the electoral district to encompass all of Lebanon as a single unit, carries several risks that could negatively impact the democratic process in the country, in addition to dissolving and marginalizing the Christian voice.
Sources involved in electoral affairs explain to the Lebanese Forces website the dangers of this law, pointing out that: “Under the current system, which divides Lebanon into multiple electoral districts, each region or sect has greater representation in parliament. However, if Lebanon is turned into a single electoral district, this could lead to reduced representation for smaller regions or groups that may struggle to compete on a national level. This could mean the marginalization of voices representing minorities or regions that are not fully engaged in the national political scene.”
The sources argue that a single electoral district undermines the Taif Agreement and creates an unequal playing field. Lebanon is a country of multiple sects, and implementing a single electoral district could weaken the diversity that defines it. This step could prevent certain political or smaller sectarian forces from reaching parliament, exacerbating sectarian tensions and deepening divisions among various segments of Lebanese society.
The sources further note that “this change in the electoral system may increase sectarian tensions and deepen divisions among different segments of Lebanese society, which contradicts the political agreements reached under the Taif Agreement. Furthermore, a single electoral district system could reinforce the dominance of major political forces in the political arena, reducing political balance in Lebanon and heightening the sense of exclusion among smaller factions and those distant from major power centers. As a result, these potential changes could not only harm fair representation but also threaten the country’s political and social stability.”
Exclusif – Risques d’une Circonscription Électorale Unique : Réduction de la Représentation et Marginalisation de la Voix Chrétienne
L’idée de diviser le Liban en une seule circonscription électorale en vertu de la loi électorale est une question sensible aux conséquences politiques et sociales majeures. La mise en place de ce système, qui élargit la circonscription électorale à l’ensemble du Liban comme une seule unité, comporte plusieurs risques qui pourraient nuire au processus démocratique du pays, en plus de diluer et marginaliser la voix chrétienne.
Des sources impliquées dans les affaires électorales expliquent au site des Forces libanaises les dangers de cette loi, soulignant que : « Dans le système actuel, qui divise le Liban en plusieurs circonscriptions électorales, chaque région ou communauté bénéficie d’une meilleure représentation au parlement. Cependant, si le Liban devient une seule circonscription électorale, cela pourrait entraîner une réduction de la représentation des petites régions ou des groupes qui pourraient avoir du mal à rivaler à l’échelle nationale. Cela pourrait signifier la marginalisation des voix représentant les minorités ou les régions qui ne participent pas pleinement à la scène politique nationale. »
Les sources estiment qu’une circonscription électorale unique affaiblit l’Accord de Taëf et crée une compétition inégale. Le Liban est un pays multiconfessionnel, et la mise en place d’une seule circonscription électorale pourrait affaiblir la diversité qui le caractérise. Cette mesure pourrait empêcher certaines forces politiques ou communautaires minoritaires d’accéder au parlement, exacerbant ainsi les tensions confessionnelles et accentuant les divisions entre les différentes composantes de la société libanaise.
Les sources ajoutent que « ce changement du système électoral pourrait aggraver les tensions confessionnelles et approfondir les divisions entre les différentes composantes de la société libanaise, ce qui va à l’encontre des accords politiques conclus dans le cadre de l’Accord de Taëf. En outre, un système de circonscription électorale unique pourrait renforcer la domination de certaines grandes forces politiques sur la scène politique, réduisant ainsi l’équilibre politique au Liban et accentuant le sentiment d’exclusion parmi les petites factions et celles éloignées des centres de pouvoir. Par conséquent, ces changements potentiels pourraient non seulement nuire à une représentation équitable, mais aussi menacer la stabilité politique et sociale du pays. »