“Lebanon Today”: Eyes on the Central Bank Governorship… Israeli Pressure for an Agreement Larger than a Ceasefire
The country’s break yesterday, in celebration of the Feast of the Annunciation of the Virgin Mary, was not devoid of dynamics and movement, sparked by Prime Minister Nawaf Salam’s visit to the north, amidst heavy anticipation and an open market of names for the governorship of Lebanon’s Central Bank and the upcoming appointments in Thursday’s session.
Meanwhile, French envoy Jean-Yves Le Drian visits Lebanon, where he will hold a series of meetings with several officials.
In detail, a government source revealed to “Nidaa al-Watan” that Salam wanted to show his commitment to Beirut and all regions of Lebanon, and his adherence to the ministerial statement’s content regarding the implementation of expanded administrative decentralization. In this context, his statement during the tour mentioned that centralization has harmed Akkar and Tripoli.
The source added that Salam aims to launch a recovery and revitalization plan in the north, especially since the region has all the necessary resources for that.
On another front, political sources commented via the Lebanese Forces website on the proposal for a single electoral district at this time, as if there were an intent to change Lebanon’s image, which is unacceptable. Those proposing such electoral laws are disregarding the constitution and selecting what suits them from the Taif Agreement that aligns with their interests. Before embarking on any changes, it must not be forgotten that there is an illegal weapon that should be handed over, and this is a priority before changing any electoral law.
The same sources confirmed that any discussion about amending the election law must occur within a broader context than just a superficial change to the electoral system. The current phase requires addressing fundamental issues that precede any political amendments, particularly the issue of the “party’s” weapon that remains outside the framework of legitimacy.
Simultaneously, “Nidaa al-Watan” learned that a breakthrough had occurred in the appointment of a new governor for the Central Bank, after the name of Karim Said rose above other candidates previously circulated.
On another front, information indicated that an agreement was reached between the President and Minister of Finance, Yassin Jaber, to propose a list of three names to the Cabinet table this Thursday, after excluding the name of former Minister Jihad Azour and the decision by businessman Samir Assaf not to run for the position.
In terms of security, there is information circulating that Israel is seeking to reach a broader agreement than the ceasefire agreement, but less than normalizing relations with Lebanon. This involves controlling the borders in a way that would prevent the “party” from using its weapon. It is possible that Ortogus’ demand to involve diplomats in the three working group meetings referred to a precedent where Lebanon was diplomatically included in its negotiations with Israel to reach a ceasefire agreement, even though the signing carried the name of the officer who led the Lebanese delegation
“Liban Aujourd’hui”: Les regards sur la Gouvernance de la Banque Centrale… Pressions israéliennes pour un Accord Plus Grand qu’un Cessez-le-feu
La pause du pays hier, à l’occasion de la fête de l’Annonciation de la Vierge Marie, n’a pas été dénuée de dynamique et de mouvement, déclenchée par la visite du Premier ministre Nawaf Salam au nord, dans un contexte de forte attente et de marché ouvert pour les noms des candidats à la gouvernance de la Banque centrale du Liban et les nominations attendues lors de la session de jeudi.
Parallèlement, l’envoyé français Jean-Yves Le Drian est en visite au Liban, où il tiendra une série de rencontres avec plusieurs responsables.
Dans les détails, une source gouvernementale a révélé à “Nidaa al-Watan” que Salam voulait montrer son engagement envers Beyrouth ainsi que toutes les régions du Liban, et sa fidélité au contenu de la déclaration ministérielle concernant la mise en œuvre de la décentralisation administrative élargie. Dans ce contexte, sa déclaration lors de la tournée a mentionné que la centralisation a nui à Akkar et Tripoli.
La source a ajouté que Salam souhaite lancer un plan de relance et de revitalisation dans le nord, en particulier parce que la région dispose de toutes les ressources nécessaires pour cela.
Sur un autre front, des sources politiques ont commenté via le site web des Forces Libanaises la proposition d’un district électoral unique en ce moment, comme si quelqu’un voulait changer l’image du Liban, ce qui est inacceptable. Ceux qui proposent de telles lois électorales ignorent la constitution et choisissent ce qui leur convient dans l’Accord de Taëf, en fonction de leurs intérêts. Avant d’entreprendre quoi que ce soit, il ne faut pas oublier qu’il existe une arme illégale qui doit être remise, et cela doit être une priorité avant de modifier toute loi électorale.
Les mêmes sources ont confirmé que toute discussion sur la modification de la loi électorale doit se faire dans un cadre plus large qu’un simple changement superficiel du système électoral. La phase actuelle exige de traiter des questions fondamentales qui précèdent toute modification politique, notamment la question de l’arme du “parti” qui reste en dehors du cadre de la légitimité.
Simultanément, “Nidaa al-Watan” a appris qu’un progrès a eu lieu dans le dossier de la nomination d’un nouveau gouverneur de la Banque centrale, après que le nom de Karim Said ait émergé au-dessus d’autres candidats précédemment circulés.
Sur un autre front, des informations ont indiqué qu’un accord a été conclu entre le Président et le ministre des Finances, Yassin Jaber, pour proposer une liste de trois noms à la table du Conseil des ministres ce jeudi, après avoir exclu le nom de l’ex-ministre Jihad Azour et la décision de l’homme d’affaires Samir Assaf de ne pas se présenter pour ce poste.
Sur le plan sécuritaire, des informations circulent indiquant qu’Israël cherche à conclure un accord plus large que l’accord de cessez-le-feu, mais moins que la normalisation des relations avec le Liban. Cela implique de contrôler les frontières d’une manière qui empêcherait le “parti” d’utiliser son arme. Il est possible que la demande d’Ortogus d’impliquer des diplomates dans les trois groupes de travail fasse référence à un précédent où le Liban a été diplomatiquement inclus dans ses négociations avec Israël pour parvenir à un accord de cessez-le-feu, même si la signature portait le nom de l’officier qui dirigeait la délégation libanaise.