Lebanon recently went through a highly sensitive and anxious phase following a mysterious rocket launch from the south of the country. The atmosphere was filled with uncertainty regarding the responsible party behind these attacks. Although “the party” denied any involvement in the incident, suspicions continue to surround it, particularly given the tense regional circumstances and Israel’s ongoing threats. This event served as a real wake-up call for Lebanon, which was on the brink of a security crisis that could have escalated into a military confrontation with dire consequences for both its internal situation and its border with Israel.
According to an initial political analysis of the situation, “Despite the severity of the incident, Lebanon managed to avoid deeper tensions and conflict thanks to intensive diplomatic efforts led by Lebanese authorities, particularly the Presidency and the government, along with the Ministry of Foreign Affairs. These efforts were not limited to domestic initiatives but extended to high-level diplomatic communications with the international community and relevant stakeholders to prevent the situation from worsening.”
Sources told the Lebanese Forces website: “The primary objective of these diplomatic moves was to prevent any escalation that could lead to a new conflict, especially given Lebanon’s deep internal crises and devastating economic conditions. Any new war would pose a significant risk, potentially eliminating what little stability remains in the country. The international community, especially major powers, supported these efforts in a bid to avoid catastrophic consequences that could destabilize the entire region.”
Despite the party’s denial of involvement or responsibility for the rocket launches from southern Lebanon, the message sent was clear—one that was aimed more at the Lebanese domestic scene than at Israel. Launching six rockets could not realistically alter the military equation with Israel, especially given the timing of this event, which coincided with rising internal demands for the party to relinquish its weapons. In this context, the intense media campaign launched by party officials can be understood as an attempt to justify their stance and send contradictory messages.
More importantly, according to field sources, the timing of the incident was striking, occurring shortly after statements by Prime Minister Nawaf Salam, who affirmed that the “Army, People, and Resistance” equation was over and that the issue of the party’s weapons was now a thing of the past. These remarks came as a major shock to the party, particularly amid mounting internal pressure over its arms, which has become one of Lebanon’s most pressing political issues.
Sources told the Lebanese Forces website that “the rocket launch was a direct response to ongoing internal demands for disarmament. It is likely that the party, or a closely affiliated entity, carried out this operation to assert its continued military and political influence in Lebanon and to demonstrate that its weapons remain a decisive factor in shaping the country’s future. The goal of this move was to send a message that the party still holds the ultimate power in Lebanon’s political arena and in decisions of war and peace, and that it will not abandon its weapons regardless of domestic or international pressure.”
La Manchette du site des Forces Libanaises : “Une crise évitée”… Le Liban échappe au pire
Le Liban a récemment traversé une phase extrêmement sensible et anxiogène après un mystérieux tir de roquettes depuis le sud du pays. L’atmosphère était lourde de doutes quant à l’identité des responsables de ces attaques. Bien que “le parti” ait nié toute implication dans l’incident, les soupçons continuent de peser sur lui, en raison du contexte régional tendu et des menaces persistantes d’Israël. Cet événement a servi d’avertissement pour le Liban, qui était au bord d’une crise sécuritaire pouvant déboucher sur une escalade militaire aux conséquences désastreuses pour la situation intérieure et la frontière israélo-libanaise.
Selon une première analyse politique de la situation, “Malgré la gravité de l’incident, le Liban a réussi à éviter une aggravation des tensions et un conflit plus profond grâce aux efforts diplomatiques intensifs menés par les autorités libanaises, en particulier la Présidence et le gouvernement, ainsi que le ministère des Affaires étrangères. Ces efforts ne se sont pas limités aux initiatives locales mais ont aussi impliqué des communications diplomatiques de haut niveau avec la communauté internationale et les parties concernées afin d’empêcher une détérioration de la situation.”
Des sources ont déclaré au site des Forces Libanaises : “L’objectif principal de ces initiatives diplomatiques était d’empêcher toute escalade pouvant conduire à un nouveau conflit, surtout que le Liban traverse déjà des crises internes profondes et une situation économique catastrophique. Toute nouvelle guerre représenterait un risque majeur, menaçant ce qui reste de stabilité dans le pays. La communauté internationale, et en particulier les grandes puissances, a soutenu ces efforts afin d’éviter des répercussions désastreuses susceptibles de déstabiliser toute la région.”
Bien que le parti ait nié toute implication ou responsabilité dans les tirs de roquettes depuis le sud du Liban, le message envoyé était clair—il visait davantage la scène politique libanaise qu’Israël. Le lancement de six roquettes ne pouvait en aucun cas modifier l’équilibre militaire avec Israël, d’autant plus que cet événement coïncidait avec la montée des revendications internes exigeant le désarmement du parti. Dans ce contexte, l’intense campagne médiatique menée par les responsables du parti peut être perçue comme une tentative de justifier leur position et de diffuser des messages contradictoires.
Plus important encore, selon des sources de terrain, le timing de cet incident est frappant, survenant peu après les déclarations du Premier ministre Nawaf Salam, qui a affirmé que l’équation “Armée, Peuple et Résistance” était révolue et que la question des armes du parti appartenait désormais au passé. Ces déclarations ont constitué un choc majeur pour le parti, notamment en raison des pressions internes croissantes sur son arsenal, qui est devenu l’un des principaux dossiers politiques au Liban.
Des sources ont déclaré au site des Forces Libanaises que “le lancement des roquettes était une réponse directe aux revendications internes constantes de désarmement. Il est probable que le parti, ou une entité proche de lui, ait orchestré cette opération pour affirmer son influence militaire et politique persistante au Liban et montrer que son arsenal reste un facteur clé dans le destin du pays. L’objectif de cette manœuvre était d’envoyer un message selon lequel le parti détient toujours le dernier mot sur la scène politique libanaise et dans les décisions de guerre et de paix, et qu’il ne renoncera pas à ses armes quelles que soient les pressions nationales et internationales.”