“The Forces” are on the lookout for appointments in “Lebanon Today”..
“The Eye is Starting to Turn Red”
The appointment mechanism in Lebanon was approved today in the second Cabinet session dedicated to the appointment file, which was held at the Grand Serail on Thursday, chaired by President Nawaf Salam. There will be no government session today in Baabda as no agreement has been reached yet on the name of the new Central Bank Governor. The Cabinet’s approval of the appointment mechanism is seen as a significant and pioneering step in putting the reform commitments of President Nawaf Salam’s government into action or starting their implementation. It is important to note that ensuring the full credibility of the government and ministries in transitioning public administration from a deteriorating era to a reformist one will be a key factor in monitoring this highly important process.
According to An-Nahar, other notable implications of the approval of the appointment mechanism concern the message that the international community will receive about the government and the new presidency’s response to international demands for reform. This is a demand that President Michel Aoun had previously emphasized as an internal necessity before being an international requirement. The primary support for assigning Prime Minister Nawaf Salam to form the government was based on his reformist approach. Another important aspect of launching the appointment mechanism is the balance between priorities. The security challenges that Lebanon faces at its southern borders with Israel, as well as the challenges at its eastern and northern borders with Syria, did not overshadow or delay the launch of the appointment process. This process is essential for the restoration of the public administration and the public sector, and it must remain a priority that cannot be postponed for any reasons or excuses, even if other urgent priorities exist.
In this context, Nidaa al-Watan learned that the ministers affiliated with the Lebanese Forces demanded that the mechanism be highly transparent, with its results presented to the government and public opinion, and free from delay or obstruction by participants such as the Minister of Administrative Development and the Civil Service Council. This means that if either of them refuses to participate or if no one is delegated to replace them, the procedure will proceed without waiting to avoid any obstruction. They insisted on having a clear time frame of three months from the start of the hiring process to its completion, leading to their appointment in the Cabinet to avoid procrastination.
In another context, the negligence in asserting the state’s sovereignty over all its territories and limiting weapons to legitimacy, as well as the lack of a timeline for handing over the weapons of the “Party” in the south and north of the Litani River, is putting officials to a real and serious test, as diplomatic sources tell Nidaa al-Watan.
The sources add, “The eye is starting to turn red” due to the leniency in dealing with the arms issue and the excessive reliance on diplomatic frameworks to convince the “Party” to hand over its weapons, while the agreement signed under the government of Prime Minister Najib Mikati obligates it to do so immediately, starting from the south of the Litani River. The sources consider that the “Party” has a history of evading international resolutions, similar to what happened after the 2006 war, when, after agreeing to Resolution 1701, it circumvented it and followed up with a political coup.
“Les Forces” sont à l’affût des nominations dans “Liban aujourd’hui”..
“L’Œil commence à devenir rouge”
La mécanisme de nominations au Liban a été approuvé aujourd’hui lors de la deuxième séance du gouvernement consacrée au dossier des nominations, qui a eu lieu au Grand Sérail jeudi, présidée par le président Nawaf Salam. Il n’y aura pas de session gouvernementale aujourd’hui à Baabda car aucun accord n’a été trouvé concernant le nom du nouveau gouverneur de la Banque centrale. L’approbation par le gouvernement du mécanisme de nominations est considérée comme un pas important et pionnier pour mettre en œuvre les engagements réformistes du gouvernement du président Nawaf Salam, ou pour commencer à les mettre en œuvre. Il est à noter que garantir la crédibilité totale du gouvernement et des ministères dans la transition de l’administration publique d’une époque en déclin à une époque réformiste sera un facteur clé dans la surveillance de ce processus très important.
Selon An-Nahar, d’autres implications notables de l’approbation du mécanisme de nominations concernent le message que la communauté internationale recevra concernant la réponse du gouvernement et de la nouvelle présidence aux demandes internationales de réforme. Cela représente une exigence que le président Michel Aoun avait précédemment soulignée comme une nécessité interne avant d’être une exigence internationale. Le soutien principal pour la nomination du Premier ministre Nawaf Salam à la formation du gouvernement était basé sur son approche réformiste. Un autre aspect important du lancement du mécanisme de nominations est l’équilibre entre les priorités. Les défis sécuritaires que le Liban rencontre à ses frontières sud avec Israël, ainsi que les défis à ses frontières est et nord avec la Syrie, n’ont pas occulté ni retardé le lancement du processus de nominations. Ce processus est essentiel pour la restauration de l’administration publique et du secteur public, et il doit rester une priorité qui ne peut être reportée pour aucune raison ou excuse, même si d’autres priorités urgentes existent.
Dans ce contexte, Nidaa al-Watan a appris que les ministres affiliés aux Forces libanaises ont exigé que le mécanisme soit hautement transparent, avec ses résultats présentés au gouvernement et à l’opinion publique, et exempt de retard ou d’obstruction par des participants tels que le ministre du Développement administratif et le Conseil du service civil. Cela signifie que si l’un d’eux refuse de participer ou si personne n’est désigné pour le remplacer, la procédure se poursuivra sans attendre pour éviter toute obstruction. Ils ont insisté sur l’existence d’un délai précis de trois mois, du début du processus de recrutement jusqu’à sa fin, menant à leur nomination au gouvernement, pour éviter la procrastination.
Dans un autre contexte, la négligence à affirmer la souveraineté de l’État sur l’ensemble de son territoire et à limiter les armes à la légitimité, ainsi que l’absence d’un calendrier pour remettre les armes du “Parti” au sud et au nord du fleuve Litani, mettent les responsables à l’épreuve de manière réelle et sérieuse, selon des sources diplomatiques de Nidaa al-Watan.
Les sources ajoutent : “L’Œil commence à devenir rouge” en raison de la douceur dans le traitement du dossier des armes et de la dépendance excessive aux cadres diplomatiques pour convaincre le “Parti” de remettre ses armes, alors que l’accord signé sous le gouvernement du Premier ministre Najib Mikati l’oblige à les remettre immédiatement, à commencer par le sud du Litani. Les sources considèrent que le “Parti” a un historique d’évasion des résolutions internationales, à l’instar de ce qui s’est passé après la guerre de 2006, où, après avoir accepté la résolution 1701, il l’a contournée et a suivi avec un coup politique.