“Lebanon Today”: The “Lost” Party Tries to Exploit the Scraps of Its Excess Power
In a scene that is both sad and laughable, no longer strange to the “party” in the politically doomed Lebanon of today, exposed to all sides, it is evident that the party treats the state’s existence with the absurdity that the Lebanese have become accustomed to since its “glorious era.” The “party” has resorted to accusing the Lebanese army of treason and collaboration with Israel during its entry into the Lebanese part of the town of Hosh Al-Sayed Ali. It is clear that the “party” is attempting to use the scraps of its “excess power” to overturn the concept of the state, which it has rejected since it swallowed the country’s power.
In this context, monitoring sources asked via “Nidaa Al-Watan”: Will those who accused the army of treason be prosecuted before the military judiciary? And if this does not happen, how will the army behave in the area it is deployed in, a region that seems hostile to its presence? Furthermore, will this provocation be raised at today’s Cabinet meeting in the presence of ministers affiliated with the “party”? And more than that, will there be contact with the “party” leadership to inquire about the background of what happened?
In contrast, the Lebanese army issued a statement that did not address the issue at hand but said, “In light of the events witnessed in the Lebanese-Syrian border area, and after coordination between the Lebanese and Syrian authorities to prevent the situation from deteriorating at the borders, the deployed military units began implementing security measures in the area of Hosh Al-Sayed Ali – Hermel, including conducting patrols to maintain security and stability in the border region.”
According to Al-Nahar, the beginning of the army’s deployment, particularly in the town of Hosh Al-Sayed Ali, which witnessed the most violent clashes, revealed the complex aspects of the recent reality in areas of border overlap. It has become clear that the uncontrolled smuggling operations and armed clashes between Syrian groups with the tribes and the “party” on the Lebanese side have not overshadowed the more dangerous repercussions linked to the reflection of regional conflicts that continue to control the situation in Syria on the border situation with Lebanon. These issues are pressuring Lebanese authorities to take strict measures to prevent friction while awaiting a radically conclusive solution, a matter that does not seem achievable under current conditions, especially concerning the inevitable demarcation of the land border between Lebanon and Syria.
In another area, the diplomatic appointments and formations remain the focus of Foreign Minister Joseph Raji, who said to Al-Liwaa: “There is nothing yet on the diplomatic formations, and we are studying them in coordination with Presidents Joseph Aoun and Nawaf Salam on what should be done.”
Regarding the situation with Syria, Minister Raji said, “Coordination is ongoing between the defense ministers of the two countries on this issue, and we are constantly working to monitor the situation and study the next steps, but this matter needs some time.”
It is noteworthy that Minister Raji is accompanying President Aoun on his anticipated visit to Paris on the 28th of this month, while the French presidential envoy to Lebanon, Jean-Yves Le Drian, is expected to arrive in Beirut next Tuesday to coordinate the visit and assess developments in the Lebanese situation before President Macron’s visit to Paris.
“Liban Aujourd’hui” : Le Parti “Perdu” Tente d’Exploiter les Restes de son Excédent de Pouvoir
Dans une scène à la fois triste et risible, désormais non étrangère au “parti” dans le Liban politiquement condamné d’aujourd’hui, exposé à tous les côtés, il est évident que le parti traite l’existence de l’État avec l’absurdité à laquelle les Libanais se sont habitués depuis “son époque glorieuse”. Le “parti” a accusé l’armée libanaise de trahison et de collaboration avec Israël lors de son entrée dans la partie libanaise du village de Hosh Al-Sayed Ali. Il est clair que le “parti” tente d’exploiter les restes de son “excédent de pouvoir” pour renverser le concept de l’État, qu’il a rejeté depuis qu’il a absorbé le pouvoir du pays.
Dans ce contexte, des sources de surveillance ont demandé via “Nidaa Al-Watan” : Les personnes qui ont accusé l’armée de trahison seront-elles poursuivies devant la justice militaire ? Et si cela ne se produit pas, comment l’armée se comportera-t-elle dans la région où elle est déployée, une zone qui semble hostile à sa présence ? De plus, cette provocation sera-t-elle soulevée lors de la réunion du Cabinet d’aujourd’hui en présence de ministres affiliés au “parti” ? Et plus encore, y aura-t-il un contact avec la direction du “parti” pour s’informer des circonstances de ce qui s’est passé ?
En revanche, l’armée libanaise a publié un communiqué qui ne traitait pas du problème survenu mais a déclaré : “À la lumière des événements observés dans la zone frontalière libano-syrienne, et après la coordination entre les autorités libanaises et syriennes pour éviter une détérioration de la situation aux frontières, les unités militaires déployées ont commencé à mettre en œuvre des mesures de sécurité dans la région de Hosh Al-Sayed Ali – Hermel, y compris la mise en place de patrouilles pour maintenir la sécurité et la stabilité dans la région frontalière.”
Selon Al-Nahar, le début du déploiement de l’armée, en particulier dans le village de Hosh Al-Sayed Ali, qui a connu les affrontements les plus violents, a révélé les aspects complexes de la réalité récente dans les zones de chevauchement des frontières. Il est devenu clair que l’absence de contrôle sur les opérations de contrebande et les affrontements armés entre les groupes syriens avec les tribus et le “parti” du côté libanais n’a pas occulté les conséquences plus graves liées à l’impact des conflits régionaux qui continuent de contrôler la situation en Syrie sur la situation frontalière avec le Liban. Ces questions exercent une pression sur les autorités libanaises pour prendre des mesures strictes afin d’éviter les frictions tout en attendant une solution radicale, une question qui ne semble pas réalisable dans les conditions actuelles, notamment en ce qui concerne la délimitation inévitable de la frontière terrestre entre le Liban et la Syrie.
Dans un autre domaine, les nominations et les formations diplomatiques restent l’objet d’attention du ministre des Affaires étrangères Joseph Raji, qui a déclaré à Al-Liwaa : “Il n’y a rien encore concernant les formations diplomatiques, et nous les étudions en coordination avec les présidents Joseph Aoun et Nawaf Salam sur ce que nous devons faire.”
Concernant la situation avec la Syrie, le ministre Raji a déclaré : “La coordination est en cours entre les ministres de la Défense des deux pays sur ce sujet, et nous travaillons constamment à surveiller la situation et à étudier les prochaines étapes, mais cela nécessite un peu de temps.”
Il est à noter que le ministre Raji accompagne le président Aoun lors de sa visite imminente à Paris le 28 de ce mois, tandis que l’envoyé présidentiel français au Liban, Jean-Yves Le Drian, devrait arriver à Beyrouth mardi prochain pour coordonner la visite et évaluer les développements de la situation libanaise avant la visite du président Macron à Paris.