Headline of the “ Lebanese Forces ” Website: Shebaa Farms… A Step Towards Settlemen
The request by the United Nations for Syria and Israel to provide a “temporary definition” of the Shebaa Farms region is an important step in the context of international efforts to find a solution to the long-standing dispute between Lebanon and Israel over this sensitive area. The Shebaa Farms is a small region located at the border triangle between Lebanon, Syria, and Israel, and has become a major point of contention due to the overlapping regional interests around it.
In 1967, Israel occupied the Shebaa Farms during the Six-Day War, considering it part of the occupied Syrian Golan. However, Lebanon demands the return of the region, and in 2000, Israel withdrew from most of the Lebanese territory under UN Security Council Resolution 425, but the Shebaa Farms remained under Israeli control, serving as a pretext for the party to maintain its weapons. Lebanon considers this land an integral part of its south and believes it should be returned as part of the implementation of the UN resolution.
In this context, parliamentary circles, through the Lebanese Forces website, view the United Nations Secretary-General António Guterres’ call for Syria to provide a temporary definition of the geographic borders of the Shebaa Farms as a means to provide a legal and practical foundation for negotiations between the concerned parties. This request comes as part of the United Nations and the international community’s attempts to resolve the border dispute between Lebanon and Israel in a way that contributes to easing the security situation in the region.
On the internal front, Lebanon faces difficult and complex challenges, not only related to security threats on the ground but also growing political and regional pressures amid the ongoing open wars in the region. These wars have not only changed regional politics but have also affected the geography and national sovereignty of several countries. Lebanon, which is suffering from many internal crises, finds itself once again at a critical stage, where security and political pressures intersect, and the Lebanese army is expected to play a key role in asserting the state’s authority over all its land and borders.
On the other hand, the Lebanese army faces significant security challenges on the southern borders, as well as in the Bekaa and northern regions, where it must confront several threats without getting dragged into open conflicts. Although the Lebanese army attempts to maintain security and stability, this task has become increasingly complicated due to growing pressures from local and regional powers, foremost among them the “party,” which seeks to maintain its weapon’s dominance over Lebanon.
According to Arab diplomatic sources, several Lebanese complaints were recorded regarding the “party’s” behavior on the ground, leading to sharp criticism of the party’s attempts to obstruct the Lebanese army’s mission. These sources, via the Lebanese Forces website, note that the party is moving in a dangerous and undeclared direction, though it is evident from its actions on the ground, particularly in relation to attempts to create security chaos through border issues with Syria.
La Manchette du site des “Forces Libanaises” : Fermes de Shebaa… Un pas vers la solution
La demande des Nations Unies adressée à la Syrie et à Israël de fournir une “définition temporaire” de la région des fermes de Shebaa constitue une étape importante dans le cadre des efforts internationaux visant à trouver une solution au différend de longue date entre le Liban et Israël concernant cette zone sensible. Les fermes de Shebaa sont une petite région située dans le triangle frontalier entre le Liban, la Syrie et Israël, et sont devenues un point de discorde majeur en raison des intérêts régionaux divergents qui s’y croisent.
En 1967, Israël a occupé les fermes de Shebaa lors de la guerre des Six Jours, les considérant comme faisant partie du Golan syrien occupé. Cependant, le Liban exige le retour de la région, et en 2000, Israël s’est retiré de la plupart du territoire libanais en vertu de la résolution 425 du Conseil de sécurité de l’ONU, mais les fermes de Shebaa sont restées sous contrôle israélien, servant de prétexte pour que le parti maintienne ses armes. Le Liban considère cette terre comme faisant partie intégrante de son sud et estime qu’elle devrait lui être rendue dans le cadre de la mise en œuvre de la résolution de l’ONU.
Dans ce contexte, les cercles parlementaires, via le site web des Forces libanaises, estiment que l’appel du secrétaire général de l’ONU, António Guterres, à ce que la Syrie fournisse une définition temporaire des frontières géographiques des fermes de Shebaa vise à fournir une base légale et pratique pour les négociations entre les parties concernées. Cette demande s’inscrit dans les tentatives des Nations Unies et de la communauté internationale de résoudre le différend frontalier entre le Liban et Israël de manière à contribuer à apaiser la situation sécuritaire dans la région.
Sur le plan interne, le Liban fait face à des défis difficiles et complexes, non seulement en raison des menaces sécuritaires sur le terrain, mais aussi sous l’effet des pressions politiques et régionales croissantes dans le contexte des guerres ouvertes qui dévastent la région. Ces guerres n’ont pas seulement modifié la politique régionale, mais ont également affecté la géographie et la souveraineté nationale de plusieurs pays. Le Liban, qui souffre de nombreuses crises internes, se trouve à nouveau à un moment charnière, où les pressions sécuritaires et politiques se croisent, et l’armée libanaise est censée jouer un rôle clé dans l’affirmation de l’autorité de l’État sur l’ensemble de son territoire et de ses frontières.
D’autre part, l’armée libanaise se trouve confrontée à des défis sécuritaires importants sur les frontières sud, ainsi que dans les régions de la Bekaa et du nord, où elle doit faire face à plusieurs menaces sans se laisser entraîner dans des conflits ouverts. Bien que l’armée libanaise tente de maintenir la sécurité et la stabilité, cette tâche devient de plus en plus compliquée en raison des pressions croissantes de certaines puissances locales et régionales, dont le “parti”, qui cherche à maintenir sa domination militaire sur le Liban.
Selon des sources diplomatiques arabes, plusieurs plaintes libanaises ont été enregistrées concernant le comportement du “parti” sur le terrain, ce qui a conduit à des critiques acerbes contre ses tentatives d’entraver la mission de l’armée libanaise. Ces sources, via le site des Forces libanaises, notent que le parti suit une direction dangereuse et non déclarée, bien que cela soit évident à travers ses actions sur le terrain, notamment en ce qui concerne ses tentatives de créer un chaos sécuritaire par le biais des problèmes frontaliers avec la Syrie.