Lebanese Forces Website Headline: A Fiery American Message to Iran
The strike targeting the Houthis in Yemen is a significant strategic step by U.S. President Donald Trump. It was not merely a minor detail in the broader regional events but rather came at a critical juncture for the Iranian regime. It serves as a strong and clear message to Tehran that its last remaining military arm in the region will be eliminated and that any future negotiations with the United States will only take place under the pressure of force.
Strategic analysts, as reported by the Lebanese Forces website, view this move as part of Trump’s pressure campaign against Tehran, focusing on weakening Iran’s regional influence while strengthening U.S.-Arab power dynamics in the region. These military messages are seen as a continuing effort to deter Iran from pursuing its expansionist policies, and this escalation could mark the beginning of a new phase in dealing with Iran.
The analysts add: “The timing of the attack sends another message that the United States does not hesitate to take decisive action against any of Iran’s proxies in the region. It reaffirms Trump’s strategy of rejecting any form of Iranian hegemony, making any future negotiations with Tehran, if they occur, subject to strict conditions.”
On another note, it seems that “the Party” has not learned its lesson from the last war that Lebanon endured. Recent statements by Party official Nawaf al-Moussawi clearly indicate that it continues along the same path that previously led the country to total devastation. In a recent media appearance, Moussawi revealed that the Party still possesses advanced weaponry and continues to store and establish new arms depots in the South Litani region, in clear violation of Lebanon’s international commitments, particularly the terms of the ceasefire agreement reached after the war.
What is even more alarming is that Moussawi’s statements come at a highly sensitive time when the Party should be reassessing its military policies and seeking ways to maintain internal stability without resorting to military escalation. These remarks reveal the Party’s insistence on maintaining its weapons as a primary tool for engaging in regional conflicts, placing Lebanon at risk of another war and further complicating the country’s security and political landscape.
Opposition sources to “the Party,” speaking to the Lebanese Forces website, believe that the Party’s continued stockpiling of weapons and establishment of new depots despite previous promises to uphold the ceasefire and ease tensions, makes it increasingly difficult for the Lebanese government and the international community to ignore these actions. Moreover, this behavior reflects the Party’s lack of political will to engage in a process that strengthens state institutions. Instead, it highlights growing divisions within Lebanon’s political scene, as the Party clings to military options that push the country further into cycles of tension and chaos.
La manchette du site des “Forces Libanaises”: Un message américain brûlant à l’Iran
Le raid qui a ciblé les Houthis au Yémen constitue une étape stratégique importante de la part du président américain Donald Trump. Il ne s’agit pas d’un simple détail dans le contexte des événements que traverse la région, mais d’un message fort et clair adressé à Téhéran. Ce message signifie que son dernier bras armé dans la région sera éliminé et que toute négociation future avec les États-Unis ne pourra avoir lieu que sous la pression du feu.
Des analystes stratégiques, cités par le site électronique des Forces Libanaises, estiment que cette initiative s’inscrit dans la politique de pression exercée par Trump sur Téhéran, visant à affaiblir le rôle régional de l’Iran tout en renforçant les cartes de pouvoir américano-arabes dans la région. Ces messages militaires font partie d’une campagne continue visant à dissuader l’Iran de poursuivre sa politique expansionniste, et cette escalade pourrait marquer le début d’une nouvelle phase dans la gestion du dossier iranien.
Les analystes ajoutent : « Le timing de cette attaque envoie un autre message indiquant que les États-Unis n’hésiteront pas à prendre des mesures décisives contre n’importe quel bras iranien dans la région. C’est une confirmation de la stratégie de Trump, qui repose sur le rejet de toute forme d’hégémonie iranienne, rendant ainsi toute future négociation avec Téhéran, si elle a lieu, soumise à des conditions sévères. »
D’un autre côté, il semble que « le Parti » n’ait pas tiré les leçons de la dernière guerre qui a frappé le Liban. Les récentes déclarations du responsable du parti, Nawaf Al-Moussaoui, montrent clairement que cette formation poursuit la même voie qui a conduit le pays à une destruction totale par le passé. Lors d’une récente apparition médiatique, Al-Moussaoui a révélé que le parti possède toujours des armes sophistiquées et continue à stocker des armes et à établir de nouveaux dépôts au sud du Litani. Cela constitue une violation flagrante des engagements internationaux du Liban, notamment des clauses de l’accord de cessez-le-feu conclu après la guerre.
Ce qui est encore plus préoccupant, c’est que ces déclarations interviennent à un moment extrêmement sensible, alors que le parti devrait revoir ses politiques militaires et chercher des moyens de protéger la stabilité intérieure, loin de toute escalade militaire. Ces propos révèlent que le parti considère toujours ses armes comme un outil principal dans la gestion des conflits régionaux, ce qui place le Liban face au risque d’un retour à la guerre et complique davantage la situation sécuritaire et politique du pays.
Des sources opposées au « Parti », citées par le site des Forces Libanaises, estiment que l’insistance de cette formation à poursuivre le stockage d’armes et à établir de nouveaux dépôts, malgré ses précédentes promesses de respecter le cessez-le-feu et de calmer la situation, rend difficile pour le gouvernement libanais et la communauté internationale d’ignorer ces pratiques. De plus, cette attitude reflète l’absence d’une volonté politique chez le parti de s’engager dans un processus politique visant à établir un État fort et institutionnel. Cela met en lumière une fracture croissante au sein du paysage libanais, où le parti s’accroche à des choix militaires qui plongent le pays dans une spirale de tensions et de chaos.