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Exclusive – “The Forces” Notes in the Government’s Bag… Monday Will Decide the Appointment Mechanism (Nay El-Hajj)

So, Brigadier General Rudolf Haikal is now the army commander, Brigadier General Hassan Shaqir is the Director-General of General Security, Brigadier General Edgar Lawandis is the Director-General of State Security, and Brigadier General Raed Abdullah is the Director-General of Internal Security Forces. While this step was crucial for initiating the process of building the state from somewhere, it did come with some flaws, especially since it didn’t follow any clear mechanism, which raised questions in the Lebanese public’s mind. This was primarily expressed by the Lebanese Forces.

In this context, sources from the Lebanese Forces reiterated the necessity that any batch of appointments should come after thorough consideration of the mechanism and clarity to the Lebanese public that the new phase the country entered, as reflected in the oath-taking speech, the ministerial statement, and the positions of the President and the Prime Minister emphasizing the application of the Constitution, is different from all previous phases. The sources pointed out, in a statement to the Lebanese Forces’ website, that the Lebanese people needed to be reassured that any appointments would take into account competence and prioritize the Lebanese national interest. The sources believe that before proceeding with any set of appointments, the mechanism should be discussed to reassure the Lebanese people. From this standpoint, the Lebanese Forces objected to rushing the decision on these appointments.

However, the security appointments remain just a small part of the vast vacancy issue that affects hundreds of positions across all categories. Attention is now focused on the Ministerial session on Monday, after Information Minister Paul Markoz announced that administrative appointments are awaiting the approval of the Cabinet for a special mechanism to fill diplomatic vacancies and numerous other vacancies. In the first category, 47 positions are vacant, and in the second and third categories, over 270 positions are vacant. If the government truly wants to achieve the required results and set aside all interventions and nepotism, it must follow a clear mechanism, despite the lack of any law specifically addressing administrative appointments. Traditionally, the appointment mechanism for first-category positions has been as follows: either by applying the civil service law and consulting the Civil Service Council, making external appointments a matter of course, or by promoting from the second category to the first based on legal criteria, without excluding the possibility of the Cabinet adopting a new mechanism. At this point, it is hoped that the number of nominations will be large enough to choose the most qualified candidates, free from sectarianism and nepotism, considering that a person occupying the position of Director-General may remain in that role for more than thirty years.

For other categories, the mechanisms and standards differ, with the Civil Service Council playing a prominent role. For second-degree appointments, a regular decree is issued based on promotion from the third degree, while appointments in other categories are subject to a competitive examination mechanism established by the Civil Service Council, which is also experiencing vacancies.

In this regard, informed political sources stress the need to establish a clear mechanism for conducting diplomatic and administrative appointments and filling vacancies. They emphasize that it is no coincidence that the Lebanese still remember the era of President Fouad Shehab, who set strict appointment mechanisms, holding the appointed oversight bodies of that time responsible for any flaws. This allowed his era to appoint the right person in the right place, something that has been missing for many years.

The sources hope, in a statement to the Lebanese Forces’ website, that a clear and stringent appointment mechanism will emerge, to ensure the success of President Joseph Aoun’s presidency and Prime Minister Nawaf Salam’s government and fulfill the goals of the ministerial statement. This is a phase the Lebanese are counting on greatly. The sources pointed out that a proper mechanism will inevitably lead Lebanon into a phase of actual state-building because appointing the right person in the right position forms the backbone of the state’s core institutions and lays the foundation for rebuilding the “deep state,” which was distorted and disrupted due to Syrian occupation. This “deep state” should have been the backbone of institutional work in Lebanon, whether in the areas of justice, law, security, or in the domains of administration, finance, and economy. The sources stress that “clean” appointments are the guarantee for citizens, hoping that the country does not return to the previous phase, but rather moves forward into a new era.


Exclusif – Les observations des “Forces” dans le dossier du gouvernement… Lundi, la méthode de nomination sera tranchée (Nay Hajj)

Ainsi, le général Rodolphe Haikal est devenu le commandant de l’armée, le général Hassan Chéker le directeur général de la Sûreté générale, le général Edgar Loundes le directeur général de la Sécurité de l’État et le général Raed Abdullah le directeur général des Forces de sécurité intérieure. Bien que cette décision ait été essentielle pour amorcer le processus de construction de l’État, elle comportait quelques défauts, notamment en raison de l’absence d’une méthode claire, ce qui a soulevé des questions dans l’opinion publique libanaise. C’est ce qu’ont exprimé, en particulier, les Forces libanaises.

Dans ce contexte, les sources des “Forces libanaises” ont réaffirmé la nécessité que toute série de nominations soit précédée d’une réflexion sur le processus et la méthode, et qu’il soit clarifié à l’opinion publique libanaise que la nouvelle phase entamée par le pays avec le discours de l’investiture, la déclaration ministérielle et les positions des présidents de la République et du gouvernement, mettant l’accent sur l’application de la Constitution, diffère de toutes les étapes précédentes. Elles ont souligné, dans une déclaration au site électronique des “Forces libanaises”, qu’il était impératif de rassurer les Libanais en précisant que toutes les nominations tiendraient compte de la compétence et de la priorité accordée à l’intérêt supérieur du Liban. Selon ces sources, il aurait été plus judicieux, avant toute série de nominations, de commencer par définir la méthode afin de rassurer la population libanaise. C’est pourquoi les Forces ont protesté contre la précipitation avec laquelle ces nominations ont été prises.

Cependant, les nominations dans le domaine sécuritaire restent un détail par rapport à la vacance de centaines de postes dans toutes les catégories professionnelles. Les regards se tournent maintenant vers la réunion des ministres lundi, après que le ministre de l’Information, Paul Marrouk, a annoncé que les nominations administratives attendaient l’approbation du Conseil des ministres pour une méthode spécifique de nomination, afin de reconstituer le corps diplomatique à travers des nominations et de combler de nombreuses vacances. Dans la première catégorie, 47 postes sont vacants, et dans les deuxième et troisième catégories, plus de 270 postes sont vacants. Si le gouvernement souhaite vraiment accomplir les résultats attendus et mettre de côté toute forme d’intervention ou de favoritisme, il doit suivre une méthode claire, bien qu’aucune loi sur les nominations administratives n’existe. Il est d’usage que la méthode de nomination dans la première catégorie suive les principes suivants : soit en s’appuyant sur la loi des fonctionnaires et en consultant le Conseil de service civil, ce qui rend les nominations externes évidentes, soit en promouvant les fonctionnaires de la deuxième à la première catégorie selon des critères juridiques, sans oublier la possibilité pour le gouvernement de prendre une décision d’adopter une nouvelle méthode. À ce sujet, on espère que les candidatures seront nombreuses afin de choisir les candidats les plus qualifiés, loin des pratiques de partage des postes et de favoritisme, sachant qu’une personne occupant le poste de directeur général peut y rester pendant plus de trente ans.

Pour les autres catégories, les méthodes et critères diffèrent et le Conseil de service civil joue un rôle clé. Pour les nominations dans la deuxième catégorie, un décret ordinaire est émis sur la base de la promotion de la troisième catégorie, tandis que les nominations dans les autres catégories suivent un processus de concours fixé par le Conseil de service civil, qui souffre également d’une vacance.

Dans ce contexte, des sources politiques bien informées insistent sur la nécessité de définir une méthode claire pour effectuer les nominations diplomatiques et administratives et combler les vacants, en soulignant qu’il n’est pas fortuit que les Libanais se souviennent encore de l’ère du président Fouad Chehab, qui a établi des procédures strictes pour les nominations, attribuant la responsabilité de toute défaillance aux autorités de contrôle qui avaient été désignées à l’époque. Cela a permis à son mandat de nommer les bonnes personnes aux bons endroits, ce qui nous a fait défaut pendant de longues années.

Les sources espèrent, dans une déclaration au site électronique des “Forces libanaises”, qu’une méthode de nomination claire et stricte sera mise en place pour réussir le mandat du président Joseph Aoun et de son Premier ministre Nawaf Salam et réaliser les objectifs de la déclaration ministérielle, une phase à laquelle les Libanais accordent beaucoup d’espoirs. Elles précisent que la méthode appropriée doit permettre à Liban de passer à une véritable phase de reconstruction de l’État, car nommer la personne appropriée au poste approprié constitue les bases de l’État et initie la reconstruction de l’État profond qui a été déformé et perturbé à cause de l’occupation syrienne. Cet État profond aurait dû être la colonne vertébrale du travail institutionnel au Liban, que ce soit dans les domaines de la justice, de la loi, de la sécurité, de l’administration, des finances et de l’économie. Les sources insistent sur le fait que les nominations “propres” constituent la garantie pour le citoyen, espérant qu’il ne sera pas fait marche arrière vers le passé et que nous avancerons vers une nouvelle phase.

https://www.lebanese-forces.com/2025/03/14/التعيينات-15

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