Headlines of the Lebanese Forces website:
Lebanon Faces a Serious Test: Combating Corruption and Restoring Trus
The Lebanese government is facing massive challenges in tackling corruption and financial crimes. The current situation requires genuine financial reforms to secure crucial foreign loans that would aid in rebuilding the country and restoring citizens’ trust in the banking sector—an essential step for internal stability. However, this task is far from easy due to the complex political and financial factors at play, particularly the role of institutions linked to Hezbollah, such as Al-Qard Al-Hassan.
Sources close to the U.S. administration indicate that the international community, led by the United States, is closely monitoring how the new Lebanese government will handle Hezbollah and its domestic activities, especially regarding the implementation of critical financial reforms. This includes addressing the issue of Al-Qard Al-Hassan, which is on the U.S. Treasury’s sanctions list due to its direct affiliation with Hezbollah and its role in financing the party’s financial and political activities. This raises concerns in Washington and Western countries about the government’s ability to enact the necessary financial reforms.
According to sources speaking to the Lebanese Forces website, “this unregulated institution conducts financial transactions that contribute to funding Hezbollah’s political and military activities. Despite multiple branches being targeted by Israeli strikes during the recent war, U.S. reports indicate that more than half of them resumed operations after the ceasefire. Washington views this as a violation of the ceasefire and international agreements.”
On another note, despite the ceasefire agreement, Hezbollah continues to suffer the consequences of the war on the ground. While calm is supposed to prevail along the border, Israeli aircraft continue to target members of Hezbollah’s Radwan force. This ongoing targeting suggests that the new reality following the ceasefire still carries threats and continuous conflicts, despite temporary agreements.
The key question many are asking is: What exactly did Hezbollah agree to when it signed the ceasefire agreement? If the group accepted all its terms as it claims, why does it appear to be holding the Lebanese state responsible for the current situation—especially since Hezbollah itself decided to enter this dark tunnel of war? This situation could push the group back into the cycle of major military confrontations, similar to past operations like “The Pager” and the threats that targeted its leaders, including Hassan Nasrallah and Hashem Safieddine.
Military experts, speaking to the Lebanese Forces website, suggest that the current events are part of a broader plan that was agreed upon during the tenure of former U.S. President Joe Biden and remains in effect under the current administration of President Donald Trump. This strategy includes a crucial clause granting Israel the freedom to act if it perceives any threats to its security—an approach clearly reflected in the recent military escalation in southern Lebanon.
Manchette du site des « Forces Libanaise» : Le Liban face à un test sérieux… Lutte contre la corruption et restauration de la confiance
Le gouvernement libanais est confronté à d’énormes défis pour lutter contre la corruption et les crimes financiers. La situation actuelle exige des réformes financières profondes afin de garantir l’accès aux prêts étrangers essentiels à la reconstruction du pays et de restaurer la confiance des Libanais dans le secteur bancaire. Cependant, cette tâche est rendue complexe par des facteurs politiques et financiers interconnectés, notamment le rôle des institutions liées au « parti », comme « Al-Qard Al-Hassan ».
Des sources proches de l’administration américaine indiquent que la communauté internationale, en particulier les États-Unis, surveille de près la manière dont le nouveau gouvernement libanais gérera le « parti » et son comportement interne, notamment dans la mise en œuvre des réformes financières essentielles. Ces réformes incluent la question de « Al-Qard Al-Hassan », inscrit sur la liste des sanctions du département du Trésor américain en raison de son lien direct avec le « parti » et de son utilisation pour financer ses activités financières et politiques, suscitant ainsi des inquiétudes à Washington et en Occident quant à la capacité du gouvernement à mettre en œuvre les réformes attendues.
Selon les mêmes sources citées par le site des Forces libanaises, « cette institution non réglementée émet des transactions financières qui contribuent au financement des activités politiques et militaires du parti. Bien que de nombreuses branches de cette institution aient été ciblées par des frappes israéliennes lors du dernier conflit, les rapports américains indiquent que plus de la moitié d’entre elles ont repris leurs activités après le cessez-le-feu. L’administration américaine considère cela comme une violation du cessez-le-feu et des accords internationaux. »
Par ailleurs, malgré l’annonce d’un cessez-le-feu entre les parties concernées, le « parti » continue de subir les répercussions du conflit sur le terrain. Alors que le calme devrait prévaloir à la frontière, l’aviation israélienne poursuit ses frappes contre les éléments de la brigade Radwan du parti. Ces attaques, qui ne semblent pas près de cesser, reflètent la nouvelle réalité à laquelle le parti est confronté après le cessez-le-feu, une réalité marquée par des menaces et des conflits persistants malgré les accords temporaires.
La question essentielle que beaucoup se posent est la suivante : « À quoi le parti a-t-il réellement consenti en signant l’accord de cessez-le-feu ? S’il a accepté toutes ses clauses comme il l’affirme, pourquoi semble-t-il tenir l’État libanais pour responsable de la situation actuelle, alors que c’est lui-même qui a choisi d’entrer dans cette guerre ? » Cette situation pourrait replonger le « parti » dans une vague de frappes militaires d’envergure, similaires aux opérations telles que « Beijer », ainsi qu’aux menaces qui ont visé ses dirigeants, notamment Hassan Nasrallah et Hashem Safieddine.
Des experts militaires cités par le site des Forces libanaises estiment que les événements en cours s’inscrivent dans le cadre d’un plan plus large, élaboré sous l’administration de l’ancien président américain Joe Biden et toujours en vigueur sous le président actuel Donald Trump. Ce plan inclut une clause clé accordant à Israël une liberté d’action en cas de menace contre sa sécurité, ce qui se manifeste clairement dans l’escalade militaire observée récemment dans le sud du Liban.