Headline from the “Lebanese Forces” Website:
“Diplomacy Worries the Party”… Aounist “Hysteria”
The “party” is experiencing deep anxiety over the state’s shifting diplomatic approach, which now threatens its long-standing project in Lebanon. At every opportunity, the “party” attacks the state simply because it has chosen diplomacy as a means to resolve disputes—especially those related to borders—rather than clinging to the “resistance” option, which has become obsolete following the latest ministerial statement. This statement marks a turning point, granting the state sole authority over any border dispute with any country, effectively removing “resistance” from the official equation in managing international relations.
According to informed sources, the party’s deep concern stems from its realization that the rug has been pulled from under its parallel state. For years, this parallel state thrived in an environment of institutional chaos, weakening the Lebanese state and establishing a shadow authority that operated without oversight or legal accountability. However, with Lebanon’s reinvigorated presence on the international stage, the “party” now senses that its dominance is eroding and that its grip on sovereign decision-making is slipping away.
Sources told the Lebanese Forces website:
“When the state becomes strong and effective, the influence of the party’s parallel state fades. Lebanon cannot remain shackled by policies that undermine its ability to make sound decisions, particularly regarding foreign relations and conflict resolution. Consequently, the ‘party’ finds itself facing a new reality where the state—not an armed militia—is the ultimate decision-maker in Lebanon’s future.”
While the party intensifies its attacks on the state, the Free Patriotic Movement (FPM) appears to have entered a state of hysteria and agitation, fixating on criticizing Lebanese Forces ministers in the new government. Criticism is natural if ministers commit violations or missteps, but launching a smear campaign in the first days of the new government suggests hidden motives—possibly an attempt to justify the FPM’s failures in previous administrations or to cover up their exclusion from the new government.
Exclusive information suggests that the FPM is politically adrift, struggling to define clear objectives in this sensitive political phase. This lack of direction has led the movement to reactivate its long-dormant online army on social media. What began as relentless praise for FPM leader Gebran Bassil has now shifted into an aggressive and unjustified attack on Lebanese Forces ministers, particularly Energy Minister Joe Saddi.
According to insights shared on the Lebanese Forces website:
“If we examine Lebanon’s energy sector, we see that years of FPM control over the ministry have yielded no positive outcomes. Instead, there has been massive financial waste, worsening power shortages, and a ballooning debt crisis that continues to plague Lebanese citizens.”
Le titre du site « des Forces Lebanaises » : La diplomatie inquiète « le parti »… Une « hystérie » aouniste
« Le parti » traverse une profonde inquiétude face à l’évolution du comportement diplomatique de l’État, qui constitue désormais une menace pour son projet qu’il a longtemps tenté d’imposer au Liban. À chaque occasion, il attaque l’État simplement parce que celui-ci a choisi la diplomatie comme moyen de résolution des conflits, notamment ceux liés aux frontières, plutôt que de s’accrocher à l’option de la « résistance », devenue obsolète suite à la dernière déclaration ministérielle. Cette déclaration, considérée comme un tournant, consacre l’État comme seul décideur dans tout différend frontalier avec un autre pays, excluant ainsi l’arme de la « résistance » de l’équation officielle dans la gestion des relations internationales.
Des sources bien informées indiquent que l’angoisse profonde du « parti » provient de son sentiment que le tapis de son État parallèle lui a été retiré sous les pieds. En effet, cet État parallèle fonctionnait dans un contexte de chaos institutionnel qui affaiblissait l’État libanais, lui permettant d’établir une autorité parallèle échappant à tout contrôle ou réglementation. Mais aujourd’hui, avec le retour de l’État sur la scène internationale, plus fort et plus actif, le « parti » ressent un effritement de sa position et la fin de l’hégémonie qu’il exerçait sur les décisions souveraines.
Les sources ajoutent, via le site des Forces libanaises : « Lorsque l’État devient fort et efficace, l’État parallèle du “parti” s’effondre, car il s’est toujours nourri de l’affaiblissement de la souveraineté du Liban. L’État libanais ne peut rester enchaîné face à des politiques qui diminuent sa capacité à prendre des décisions judicieuses, en particulier en matière de relations extérieures et de résolution des conflits. Ainsi, le “parti” se retrouve confronté à une nouvelle réalité où c’est l’État qui décide et contrôle le destin du Liban, et non cette milice qui a œuvré à son affaiblissement à des fins politiques personnelles. »
En parallèle à l’attaque du « parti » contre l’État, le Courant patriotique libre semble sombrer dans une hystérie et une tension accrues, se focalisant principalement sur la critique des ministres des Forces libanaises dans le nouveau gouvernement. Il est naturel de critiquer un ministre en cas d’irrégularités ou de violations, mais lancer des attaques et des campagnes de diffamation dès les premiers jours de formation du gouvernement indique des intentions peu claires. Celles-ci pourraient viser à justifier l’échec du CPL dans les gouvernements précédents ou à masquer son absence de participation au nouveau gouvernement.
D’après des informations exclusives, le CPL traverse une phase de confusion politique et peine à définir des objectifs clairs dans cette conjoncture délicate. Incapable d’exercer un rôle politique efficace, il a relancé son armée numérique sur les réseaux sociaux, qui était en sommeil depuis un certain temps. Ce qui avait commencé par des louanges et une glorification du chef du parti, le député Gebran Bassil, s’est transformé en une attaque directe et injustifiée contre les ministres des Forces libanaises, en particulier le ministre de l’Énergie, Joe Sadé.
Selon les informations publiées sur le site des Forces libanaises : « Si l’on examine le dossier de l’énergie au Liban, on constate que les nombreuses années de gestion du ministère par le Courant patriotique libre n’ont produit aucun résultat positif. Au contraire, elles ont été marquées par des échecs répétés et un énorme gaspillage financier. La crise de l’électricité n’a cessé de s’aggraver, entraînant une accumulation de dettes et l’exacerbation de la souffrance des Libanais. »